Catastrophedu car de Millas PUB. TOP PROGRAMMES
Voilà une mésaventure que n'est pas près d'oublier Julien Courbet. Ce mercredi 24 février 2021, l'animateur a eu le droit à se faire insulter en plein direct dans son émission "Ça peut vous arriver" alors qu'il contactait un garagiste. Et ce n'est pas tout, son journaliste envoyé sur place a manqué de se faire agresser. Son émission Ça peut vous arriver n'a certainement jamais aussi bien porté son nom. Sur M6, Julien Courbet vient chaque jour, en direct, à la défense des consommateurs victimes d'arnaques en tous genres. Ce mercredi 24 février 2021, il s'est intéressé au cas d'une cliente qui a obtenu de la justice que son garagiste la rembourse pour l'achat d'une voiture d'occasion accidentée. Problème, ce dernier refuse de payer. Avec ses équipes, l'animateur a donc tenté de jouer les médiateurs en le contactant par téléphone. Mais le garagiste ne s'est pas montré tout à fait coopératif, se contentant d'insulter Julien Courbet. "Va te faire encu*er, tête de mort", a-t-il lâché avant de raccrocher. Une réaction qui a forcément pris au dépourvu Julien Courbet et les personnes présentes sur le plateau mais c'est avec humour qu'a préféré se reprendre l'animateur. "Et bien écoutez, je vais devoir vous laisser puisque ce monsieur m'a confié une mission. Je suis là dans 5 minutes. Est-ce qu'un technicien qui serait d'accord éventuellement ? Qu'on en termine !, a-t-il lâché suscitant le rire. Nous sommes d'accord, ce n'est pas une caméra caché. Bon écoutez on en est là pour l'instant. S'il vous plait, déjà nous ne pouvons pas faire ce que vous dites, je suis marié, si éventuellement je décidais de changer d'équipe ce serait avec vous mais pour l'instant nous ne le faisons pas." Son envoyé spécial en danger Mais les équipes de Ça peut vous arriver ont rapidement déchanté lorsque Alexandre, l'envoyé spécial du programme qui se trouvait aux abords du garage s'est retrouvé en difficulté, pour ne pas dire en danger. Le jeune homme a en effet subi la mauvaise humeur du garagiste d'une toute autre manière. "Il y a quelqu'un qui s'approche de moi, donc je préfère m'éloigner, Julien", a-t-il fait savoir en duplex. Julien Courbet a donc conseillé à Alexandre de se rendre à la station service qui se situait à proximité, histoire de s'entourer de personnes. Mais le garagiste était bien décidé à poursuivre le journaliste, n'hésitant pas même à le bousculer. Sans le voir à l'image, on entend malgré tout les cris de protestation d'Alexandre sous le regard ahuri de Julien Courbet. "Ce monsieur est complètement fou, c'est une catastrophe. Il va falloir aller déposer plainte juste derrière. Ce monsieur, qui après m'avoir insulté, est sorti carrément pour agresser. Et ces gens là vendent des voitures", a-t-il déploré, toujours en direct. Une fois en sécurité, Alexandre a donné de ses nouvelles. "J'imagine que le gérant est sorti du garage, il m'a couru droit dessus donc je suis allé me réfugier dans un magasin juste à côté et là il est en train de repartir après m'avoir menacé", a-t-il confié. Julien Courbet a encore une fois promis de porter plainte ultérieurement. "C'est grave là ce qu'il vient de se passer", s'est-il désolé. Pour faire oublier ce climat tendu dans lequel s'est retrouvé Alexandre, Julien Courbet a par la suite fait preuve d'humour en donnant une autre "mission" à son envoyé spécial, celle de rendre visite à "trois personnes armées de fusils". "Est-ce que vous pouvez vous y rendre ?", a-t-il demandé à Alexandre, lequel on le comprend n'était pas du tout pour !
️ #REPLAY - Décembre 2017, dans la petite commune de Millas une collision, entre un train et un autocar transportant vingt-trois collégiens, se produit à ha
Des témoignages recueillis évoquent “très majoritairement” des “barrières du passage à niveau fermées”, a indiqué le procureur de la République de Marseille qui s’est saisi de l’enquête via son pôle spécialisé dans les accidents collectifs. Mais tous les témoins n’ont pas été entendus, a précisé Xavier Tarrabeux. De son côté, l’employeur de la conductrice du car scolaire, Christian Faur, a affirmé que son employée avait “traversé en toute confiance et en toute sérénité le passage à niveau, barrières ouvertes et feu clignotant éteint”. L’émotion est immense à quelques jours des fêtes de Noël. “On est tous choqués, ils passaient tous les jours par là, ce sont des enfants qu’on côtoie tous les jours”, a déclaré, très émue, Maria Baptiste, mère au foyer. Tous les enfants, âgés de 11 à 17 ans, venaient du village de Saint-Féliu-d’Avall, à quelques kilomètres du lieu de la catastrophe. A la mairie, où les drapeaux étaient en berne, une cellule psychologique a été mise en place. Un office liturgique a été célébré dans l’église en mémoire des victimes. Des dizaines de personnes ont par ailleurs fait la queue pour donner leur sang. Comme Delphine Ponthieux “Ça me touche beaucoup, je le fais pour apporter mon soutien aux familles. On sait que cela aurait pu être les nôtres”, a-t-elle souligné, en versant des larmes. Le président Emmanuel Macron a exprimé “la solidarité de la Nation” avec les victimes de cette catastrophe, une des plus meurtrières impliquant le transport d’enfants depuis 1982. La carcasse de l’autocar a été coupée en deux par la violence du choc. Et le bilan pourrait encore s’alourdir car le pronostic vital de 6 blessés, tous des collégiens, est encore engagé. Le conducteur du TER a été interrogé, tout comme 13 autres personnes. La conductrice, une quadragénaire employée des autocars Faur, a été grièvement blessée et n’a pas encore été entendue. La SNCF a indiqué jeudi que “selon des témoins, le passage à niveau a fonctionné normalement, mais il faut évidemment que cela soit confirmé par l’enquête”. Il s’agit d’un passage à niveau “classique” doté d’une signalisation automatique et de deux barrières, qui “n’était pas considéré comme particulièrement dangereux”, selon elle. Un père d’élève, Samuel Conegero, a cependant affirmé, se basant sur une photo prise par son fils, que “la barrière était complètement relevée et qu’il n’y avait pas de barrière cassée”. “Il y avait une barrière levée”, a également indiqué Robert Taillant, le maire de Saint-Féliu d’Avall. Vendredi, le ton est monté d’un cran entre la société des autocars Faur et la SNCF. Christian Faur, co-dirigeant de l’entreprise, a accusé la SNCF de “porter des allégations” et souhaité “qu’à la fin lorsque la vérité sera connue, la SNCF assume ses responsabilités”. La SNCF a très rapidement réagi se déclarant “choquée par les accusations particulièrement graves qui viennent d’être formulées à son encontre”, formulées selon elle “sans aucun élément tangible de preuve” mais avec “un but purement polémique”. Face aux informations et témoignages contradictoires, les enquêteurs restent très prudents. Plusieurs investigations sont en cours une enquête judiciaire, une autre de la SNCF, une enquête administrative a été aussi ouverte par le Bureau d’enquêtes sur les accidents de transport terrestre BEA-TT. “Il est indispensable qu’on puisse faire la lumière”, a déclaré Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, afin qu’“à l’avenir, sur les passages à niveau de France, ce type d’événement tragique ne puisse pas se reproduire”. Dans la petite commune rurale de Millas, sous le choc, le collège a rouvert ses portes vendredi matin. Les collégiens étaient accueillis par une cellule médico-psychologique. Le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer est venu témoigner “le soutien de l’ensemble de la France”. Le procureur de Marseille se rendra samedi matin sur les lieux de l’accident, où 100 militaires sont mobilisés. AFP En2022, les salaires ne suivent pas l'inflation. Les augmentations moyennes de salaire accordées par les entreprises pendant l'année 2022 représentent +3.1%. Mais, elles ne permettent de l'essentiel Les conclusions des dernières expertises médicales ont été rendues dans le cadre de l'enquête sur l'effroyable collision entre un bus scolaire et un TER, qui a ôté la vie à six collégiens le 14 décembre 2017 à Millas. Les causes exactes de la terrible collision entre un bus scolaire et un TER, qui a ôté la vie à six collégiens le 14 décembre 2017 à Millas, ne semblent pas véritablement s’éclaircir ou se préciser au fil des différentes expertises menées depuis plus d’un an et demi. Du moins, ces analyses écartent-elles les diverses pistes, les unes après les autres. Primo, les dysfonctionnements du passage à niveau, de la circulation et d’autres équipements ferroviaires ont été exclus par les divers rapports, dont celui du BEA-TT bureau d’enquêtes sur les accidents de transport terrestre, rendu public le 17 mai dernier. Le scénario le plus probable, selon le BEA-TT, est qu’à aucun moment, la conductrice du bus, NDLR n’a perçu l’état fermé du passage à niveau […] ». Et il convient de rechercher les raisons possibles de cette non-perception d’un danger ». Pour Me Jehanne Collard, l’avocate de quelques familles de victime, la raison était pourtant déjà très claire et sans appel. Dans un communiqué à l’ensemble des médias ce 17 mai, elle précisait que seule une défaillance de la conductrice du bus peut expliquer pourquoi elle s’est engagée au moment où le train arrivait ». Comportement, s’indignait-elle, qui était directement imputable aux effets secondaires du Zopiclone, le somnifère qu’elle prenait depuis plusieurs années ». Et l’avocate marseillaise de réclamer encore, dans un autre communiqué du 13 juin, la mise en examen du médecin » qui avait prescrit ce traitement. Activité pharmacologique négligeable » Or, les conclusions des dernières expertises médicales sur ce sujet, effectuées sur la conductrice à la demande d’une partie civile, contredisent cette version. Et confirment unanimement, le premier examen psychiatrique réalisé en janvier 2018. À savoir, elles réfutent tout lien de causalité entre l’accident survenu le 14 décembre à 16 heures et le somnifère pris la veille vers 20 heures par la conductrice. Vu ce délai et le faible taux résiduel, le Zopliclone n’a pu agir sur l’appareil ORL de la conductrice », indique un premier médecin. Un autre spécialiste ajoute qu’il n’est pas possible de dire que l’absorption de substances, dont ont été retrouvées des traces résiduelles le Zopiclone, mais aussi l’hydroxyzine pour lutter contre l’anxiété mineure qui a été ingérée deux à trois jours auparavant, a pu induire un trouble visuel identifiable susceptible d’être à l’origine de l’accident ». Enfin, selon une nouvelle psychiatre, la concentration sanguine inférieure à 20 mg/ml juste après les faits doit être considérée comme d’activité pharmacologique négligeable. On peut conclure à l’absence de retentissement de la prise de Zopiclone sur les capacités de conduite » de l’intéressée. Laquelle, par ailleurs, n’apparaît pas pour la psychologue comme une personnalité ni irresponsable, ni inconséquente ». Une nouvelle porte vient donc de se fermer. Mais pour laisser quelle réponse ? Et quelle responsabilité ? Je n’ai aucun commentaire à faire. Je n’ai jamais cru à ces histoires », réagit simplement Me Jean Codognes, l’avocat de la conductrice qui ne varie pas dans sa position ». Et qui maintient que les barrières étaient levées. Dans l’attente des dernières expertises techniques, toujours en cours…
\n\n catastrophe du car de millas replay
Synopsis- Catastrophe du car de Millas : que s'est-il vraiment passé ? Le jeudi 14 décembre 2017 à Millas, dans les Pyrénées-Orientales, un autocar transportant 23 collégiens n'arriva jamais à a revoirPrésenté parMarie-Sophie LacarrauDiffusé le 15/12/2017Durée 00h42Ce direct est terminé et sera disponible en rattrapage dans quelques JT de 13 Heures du vendredi 15 décembre 2017 est présenté par Nathanaël de Rincquesen sur France 2. Au programme du journal télévisé du 15 décembre les grands événements, des témoignages, un reportage du feuilleton de la rédaction et l'invité du jour durant la semaine. Après la diffusion du journal en direct, chaque sujet est à découvrir en vidéo en replay avec un complément d'information à lire et à partager. Accèdez aussi aux derniers titres de la rédaction de Franceinfo pour rebondir sur l'actualité en temps les sujets1 Collision mortelle à Millas le traumatisme après la catastrophe Au lendemain de la collision entre un bus scolaire et un train qui a coûté la vie à 4 collégiens, les élèves du collège Christian Bourquin sont...2 Collision mortelle à Millas un bilan très lourd Devant le collège de Millas Pyrénées-Orientales, Hélène Vergne revient sur le bilan tragique de la collision mortelle entre un TER et un car...3 Collision mortelle à Millas les zones d'ombres de l'enquête Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de la collision entre un bus scolaire et un TER qui a fait quatre morts jeudi 14...4 Collision mortelle à Millas quels éléments peuvent faire avancer l'enquête ? La journaliste de France 2 Élise Stern explique sur quels éléments le travail des enquêteurs va se focaliser pour tenter de comprendre les raisons...5 Collision mortelle à Millas le village de Saint-Féliu-d'Avall est en deuil Au lendemain de la collision entre un train et un car scolaire à Millas Pyrénées-Orientales, le village voisin de Saint-Féliu-d'Avall est en...6 Collision mortelle à Millas l’émotion s'empare du collège Christian Bourquin L'émotion est grande à Millas Pyrénées-Orientales et dans les villages alentour au lendemain du drame. Le 14 décembre, un bus scolaire est entré...7 Collision mortelle à Millas peut-on sécuriser les passages à niveau ? L'accident entre un train et un car scolaire survenu à Millas Pyrénées-Orientales le 14 décembre dernier soulève la question de la dangerosité... 8 Collision mortelle à Millas à Allinges, la douleur ravivée Un car scolaire a percuté un TER le 14 décembre dernier à Millas Pyrénées-Orientales. En 2008, un accident était survenu dans les mêmes...9 Assemblée nationale les députés ne peuvent plus travailler avec un membre de leur famille Il est désormais interdit aux députés d'employer un membre de leur famille en tant qu'attaché parlementaire. Dans les rangs de l'Assemblée,...10 Poissons faut-il boycotter la pêche électrique ? La technique de la pêche électrique est interdite dans l'Union européenne depuis 1998, mais bénéficie de nombreuses dérogations depuis...11 Déco le succès des arts de la table À quelques jours des fêtes de fin d'année, France 2 s'intéresse aux arts de la table, qui connaissent un succès grandissant depuis quelques années. 12 Arts de la table un secteur qui repart Après 10 ans de crise, les arts de la table connaissent un franc succès. Un secteur en plein essor, comme nous l'explique la journaliste Julie...13 Jouets une poupée made in France Dans la Meuse, l'entreprise Petitcollin est la dernière fabrique française de poupées artisanales. Son produit phare est la poupée Musique un enregistrement inédit d'Edith Piaf refait surface Un enregistrement inédit d'une chanson interprétée par Édith Piaf a refait surface, après 71 ans de Feuilleton strass et paillettes à la campagne 5/5 En Alsace, à Kirrwiller Bas-Rhin, un petit dancing familial est devenu au fil du temps le troisième plus grand cabaret de France. Immersion au... dataimage/gif;base64,R0lGODlhAQABAAAAACH5BAEKAAEALAAAAAABAAEAAAICTAEAOw== YU6Lup. 286 178 303 165 450 479 400 65 117

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