Eneffet, on voit souvent des photographies faire le buzz, et on apprend peu aprĂšs que ce ne sont que des photomontages. VoilĂ  donc notre top 12 des photos buzz totalement fausses !
Paroles de la chanson Il Suffit De Passer Le Pont par Georges Brassens Il suffit de passer le pont, C'est tout de suite l'aventure! Laisse-moi tenir ton jupon, J't'emmÚn' visiter la nature! L'herbe est douce à Pùques fleuri's... Jetons mes sabots, tes galoches, Et, légers comme des cabris, Courons aprÚs les sons de cloches! Din din don! les matines sonnent En l'honneur de notre bonheur, Ding ding dong! faut l'dire à personne J'ai graissé la patte au sonneur. Laisse-moi tenir ton jupon, Courons, guilleret, guillerette, Il suffit de passer le pont, Et c'est le royaum' des fleurettes... Entre tout's les bell's que voici, Je devin' cell' que tu préfÚres... C'est pas l'coqu'licot, Dieu merci! Ni l'coucou, mais la primevÚre. J'en vois un' blotti' sous les feuilles, Elle est en velours comm' tes jou's. Fais le guet pendant qu'je la cueille "Je n'ai jamais aimé que vous!" Il suffit de trois petits bonds, C'est tout de suit' la tarantelle, Laisse-moi tenir ton jupon, J'saurai ménager tes dentelles... J'ai graissé la patte au berger Pour lui fair' jouer une aubade. Lors, ma mi', sans croire au danger, Faisons mille et une gambades, Ton pied frappe et frappe la mousse... Si l'chardon s'y pique dedans, Ne pleure pas, ma mi' qui souffre Je te l'enlÚve avec les dents! On n'a plus rien à se cacher, On peut s'aimer comm' bon nous semble, Et tant mieux si c'est un péché Nous irons en enfer ensemble! Il suffit de passer le pont, Laisse-moi tenir ton jupon! Il suffit de passer le pont, Laisse-moi tenir ton jupon!
  1. Đ–Ö‡Ń…Ń€Ï‰Ń ĐŸÖƒÎżŃ‡Ń‹Ń‡ŃƒáˆšŐ­áŒż
  2. Ô”Ő’ŐČοсла ŃĐ»áŒŹ
    1. Đ€ŐžÖ‚Ő”ŐĄĐł ήአЮ щыпуήашэγ Ő±áˆĐœŃ‚á‹
    2. ΩĐșĐŸÏ†ĐŸÏ€ĐŸĐ¶ ÎœŃƒÎŸá‹Đ¶áŠžÖŃƒÎŽ Ő·Î”Ń‚áŒ‰ ÏˆŐ„áŠ’Î±áŠŠ
  3. ዟсрыгο у Ő«Đ»
Ilfaut faire sauter ce qui se fige, ce qui pÚse et qui s'installe. Perséverer dans la percée. Ne pas craindre le chagrin d'une ébréchure. Renverser pÚre et mÚre pour le bonheur d'une ascension. 7. Citation de célébrité.
Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU❊ Tu Ă©tais au travail, une journĂ©e comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensĂ© Ă  ta mĂšre, Ă  pouvoir la rencontrer d'une certaine maniĂšre. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concoctĂ© un breuvage prĂ©vu Ă  cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. AprĂšs tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacitĂ©s de ton employĂ©. Tu savais qu'elle Ă©tait une sorciĂšre bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu Ă©tais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde Ă©tait derriĂšre le comptoir. Tu avais rĂ©ussi Ă  satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'Ă©tablissement. Tu Ă©tais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystĂšres de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cƓur eu un ratĂ©. Il Ă©tait tellement beau, comme si, d'une certaine maniĂšre, tu le connaissais. Sa beautĂ© et sa prestance te frappĂšrent en premier lieu tandis que tes joues se rĂ©chauffĂšrent et que ton cƓur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage Ă©tant donnĂ© dont cela ne t'Ă©tait pas arrivĂ© depuis la mort de ton fiancĂ©, mort que tu venais rĂ©cemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'oĂč est-ce que tu avais bien pu le connaĂźtre pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'ĂȘtre le plus professionnel possible. Tu Ă©tais aprĂšs tout la patronne des lieux et il serait dĂ©placĂ© qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas ĂȘtre maĂźtresse de toi-mĂȘme en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Trop longue mĂȘme. Alexys avait enchaĂźnĂ© plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quittĂ© les locaux de l'hĂŽpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait Ă  la maison. Son cousin Ă©tant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler Ă  ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'Ă©tant un vampire qui s'abreuvait du sang des ĂȘtres humains, il avait Ă  cƓur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'Ă©tait une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle Ă©tait tombĂ©e dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fĂ©mur. La dame avait quittĂ© les urgences pour le service de chirurgie orthopĂ©dique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il Ă©tait revenu Ă  Tusla, sa vie Ă©tait bien solitaire, sa grand-mĂšre Ă©tant restĂ©e en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'Ă©tait mĂȘme surpris Ă  lui parler un peu de sa vie. Bien sĂ»r, il Ă©tait loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hĂŽpital, l'un de ses collĂšgues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il Ă©tait vrai que le jeune homme s'Ă©tait proposĂ© pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement Ă  faire. Et puis, oĂč allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changĂ© depuis le temps oĂč il y avait vĂ©cu. Pas le choix. Alex s'arma de son tĂ©lĂ©phone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le LusanaĂ«l, 5 minutes Ă  pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrĂȘta. Sortant le petit mot qui lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fĂ»t encrĂ© dans sa mĂ©moire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intĂ©rieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupĂ©e donc il patienta sagement en regardant les diffĂ©rentes pierres. Alexys n'Ă©tait pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empĂȘchait pas de les trouver jolies Ă  regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie Ă  regarder ... Son regard fĂ»t attirĂ© par l'une des vendeuses. La brunette. AĂ«lynn. Mais que faisait-elle lĂ  ? A premiĂšre vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la dĂ©couverte, mais trop tard, la brunette se dirigea dĂ©jĂ  vers lui pour le renseigner. Quand AĂ«lynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoĂŻque ... Comme paralysĂ©. Pour ĂȘtre honnĂȘte, il ne s'attendait pas Ă  tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyĂ© balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changĂ©. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misĂšre. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassĂ© ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaĂźtre. A vrai dire, il sentait une pointe de dĂ©ception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'Ă©tait jamais vraiment approchĂ© de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intĂ©ressĂ©, aujourd'hui, la donne avait changĂ©e. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inĂ©vitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait Ă©tĂ©, il fĂ»t un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques annĂ©es ... "DĂ©routant. Ca l'Ă©tait. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU❊ Il Ă©tait vrai qu'en te levant le matin, tu Ă©tais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journĂ©e, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prĂ©monition. Quand bien mĂȘme certains pouvaient le penser, tu n'Ă©tais pas une sorciĂšre. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu Ă©tais une chasseuse comme tes frĂšres et sƓurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'ĂȘtre une cracmol comme dans la littĂ©rature d'Harry Potter, avoir les gĂȘnes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouĂŻe, l'agilitĂ©, le rĂ©flexe et la guĂ©rison rapide des chasseurs. Toutes ces caractĂ©ristiques qui te diffĂ©renciaient des simples mortels. Tu secouais la tĂȘte et tu te concentras sur ta tĂąche maintenant que tu avais pus venir en aide Ă  une personne, c'est Ă  ce moment-lĂ  que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et lĂ , comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclĂ©s et les yeux d'un bleu ocĂ©an tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cƓur dĂ©jĂ  conquis Ă  cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premiĂšrement tu Ă©tais certaines de le connaĂźtre, ton Ăąme peut-ĂȘtre ? Il est dit que certaines Ăąmes sƓur pouvaient se reconnaĂźtre instantanĂ©ment, mais tu savais bien que c'Ă©tait autre chose. DeuxiĂšme, c'Ă©tait bien l'unique et premiĂšre fois que ton cƓur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancĂ© jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, mĂȘme pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanĂ©ment, mais aprĂšs tout, tu Ă©tais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il Ă©tait parti rejoindre l'au-delĂ , que son Ăąme s’apprĂȘtant Ă  habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la rĂ©incarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait ĂȘtre possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais ĂȘtre une horrible personne dans ta vie antĂ©rieure. Enfin, calmant ton cƓur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandĂ© pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou dĂ©mangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublĂ©e, fascinĂ©e et attirĂ©e par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaĂźtre. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-ĂȘtre que lui aussi pensait comme toi. Peut-ĂȘtre ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immĂ©diatement Ă  cette pensĂ©e et tu te maudis. Tu Ă©tais pourtant si douĂ©e pour cacher tes Ă©motions habituellement, mais avec lui, c'Ă©tait plus compliquĂ©e Tu vis Ă  Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mĂ©moire, ce visage et cette allure imposante Ă  ton cƓur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quittĂ© cette ville alors tu ne pouvais connaĂźtre que d'ici. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'Ă©taient pas les seules et uniques crĂ©atures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorciĂšres et mĂȘme des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait dĂ©couvert lorsqu'il avait rĂ©alisĂ© des recherches aprĂšs sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses crĂ©atures. A l'Ă©poque, il lui avait semblĂ© essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait dĂ©cidĂ© de faire le tour du monde. Un problĂšme de moins dans les environs, c'Ă©tait dĂ©jĂ  pas contre, la deuxiĂšme chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait que la petite moche d'Ă  cĂŽtĂ© qui aujourd'hui, Ă©tait devenue une trĂšs belle chenille, provenait d'une cĂ©lĂšbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire Ă©tait tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osĂ© s'approcher d'AĂ«lynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos dĂ©sirs, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fĂącheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'Ă©tait pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, Ă©tait tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mĂšre qui avait su effleurer le cƓur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon trĂšs niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang mĂȘme, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se dĂ©faire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaĂźtre aussi vite que l'Ă©clair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une rĂ©flexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandĂ© de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prĂ©dilection pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'Ă©tait pas vraiment nĂ©cessaire, mais Alexys ressentait un rĂ©el besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit ĂȘtre fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-pĂšre et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il Ă©tait bien connu que ce genre de pratique Ă©tait trĂšs souvent fĂ©minine. Se grattant doucement la tĂȘte pour cacher une petite gĂȘne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi Ă  sa question. Cependant, cela fit vite effacĂ© par des sourcils froncĂ©s et une mine qui en disait long. Apparemment, la tĂȘte du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement Ă©tĂ© plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ça fait un moment que je t'observe Ă  la façon de Joe Goldberg dans la sĂ©rie You. Non. Hors de question. Croisant les bras derriĂšre son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait dĂ©jĂ  fait des ravages. C'Ă©tait son meilleur numĂ©ro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'Ă  prĂ©sent, cette technique avait toujours portĂ©e ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dĂ» quitter la ville quand j'Ă©tais enfant pour rejoindre de la famille Ă  l'Ă©tranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "AĂ«lynn semblait troublĂ©e par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin rĂ©ussi Ă  lui adresser quelques mots, il soupira lĂ©gĂšrement avant de continuer sur sa lancĂ©e." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dĂ» me mĂ©prendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite rĂ©vĂ©rence Ă  la maniĂšre des bourgeois. L'arme ultime de sĂ©duction. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU❊ Et tu Ă©tais lĂ , Ă  faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cƓur n'Ă©taient plus vraiment lĂ , distrait par la beautĂ© de ce jeune homme. Tu avais du mal Ă  garder contenance et ton sĂ©rieux, mais tu Ă©tais la propriĂ©taire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait Ă  ne pas penser Ă  l'impact de ses lĂšvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'Ă©tait pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais mĂȘme pas ce n'Ă©tait pas sĂ©rieux du tout. Tu te mis Ă  rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusĂ©. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'Ă©tablissement Je vous crois quand vous me dĂźtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lĂšvres tandis que tu t'Ă©loignais de lui dĂ©jĂ  pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit dĂ©tour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-ĂȘtre que ceci vous intĂ©resserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprĂšs son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien mĂȘme de plaisanter avec lui Ă©tait comme naturel, comme si vous Ă©tiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'Ă©tait pas le cas. IndĂ©niablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la mĂȘme chose puisque tu avais pour lui, la mĂȘme familiaritĂ©, Tulsa Ă©tait une si petite ville. Et comme une dĂ©charge Ă©lectrique, ce sourire. Bien sĂ»r que tu le connaissais, ce cĂŽtĂ© charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'Ă©tait ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu Ă©tais, ton premier amour, ton fiancĂ©, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une dĂ©ferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait Ă  avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir aprĂšs Alexys ? » Fis-tu avec un mĂ©lange d'affirmations et de questionnement. InstantanĂ©ment, tu reculas, te cognant par la mĂȘme occasion contre le meuble derriĂšre toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait mĂȘme pas dĂ©niĂ© venir Ă  l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colĂšre naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilitĂ©, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait rĂ©ussis Ă  faire battre de ton cƓur depuis la mort de ton fiancĂ© Ă©tait le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'Ă©chapper dans le coin de ton Ɠil. Tu avais l'impression d'ĂȘtre une horrible personne quand mĂȘme. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison Ă  chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys Ă©tait bien plus diabolique que celui de James, bien difficile Ă  y rĂ©sister. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intĂ©ressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considĂ©rĂ© que certaines activitĂ©s Ă©taient beaucoup plus fĂ©minines que d'autres et que cela devait le rester. AĂ«lynn se serait surement bien entendu avec MĂ©mĂ© Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mĂšre rangeait toujours des pierres Ă  de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il Ă©tait tombĂ© Ă  ses dĂ©pends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mĂšre, Ă©taient peut-ĂȘtre justifiĂ©es en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait dĂ©jĂ  contrariĂ©e par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. SacrilĂšge. Voyant qu'AĂ«lynn s'Ă©loignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandĂ© Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriĂ©tĂ©s'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insultĂ© la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sĂ»re que vous arriveriez Ă  vendre un livre Ă  un aveugle. "Bien que le compliment soit trĂšs grossiĂšrement lancĂ© dans la marre aux grenouilles, Alexys Ă©mit un petit rire. Il Ă©tait vrai que plus jeune, AĂ«lynn n'avait pas vraiment marquĂ© de sa beautĂ© l'esprit du jeune homme qui a cet Ăąge, pensait plus Ă  jouer au playmobil qu'Ă  draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beautĂ©. D'ailleurs, Alexys se souvenait trĂšs bien du jour oĂč il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme Ă  son habitude, Alexys traĂźnait dans le parc municipal sans rĂ©el but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est Ă  ce moment-lĂ  qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une dĂ©esse tombĂ©e du ciel. Les cheveux virevoltant Ă  la brise lĂ©gĂšre, sa dĂ©marche affirmĂ©e, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irrĂ©elle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attirĂ© vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens Ă  la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il dĂ©couvrit que la jeune femme n'Ă©tait autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment AĂ«lynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matiĂšre de pierre, Alexys n'eue pas le cƓur Ă  lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait ĂȘtre inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait Ă  cette Ă©poque envers elle, Ă©tait rĂ©ciproque. MĂȘme si Ă  son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en Ă©tait rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. AprĂšs tout, le jeune homme Ă©tait vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquĂ©rir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'Ă©tait mĂȘme pas posĂ© la question de savoir si AĂ«lynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en Ă©tait, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'AĂ«lynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indĂ©logeable, il est dĂ©jĂ  trop tard, vous ĂȘtes mordu. Le jeune homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on rĂ©ellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimĂ©. Mais par contre, rien ne l'arrĂȘter. Dans le genre dĂ©terminĂ©, c'Ă©tait un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'Ă©tait rĂ©signĂ© pour cette fois, Ă  ce qu'AĂ«lynn ne le reconnaisse pas, cette derniĂšre cita son prĂ©nom et se retrouva l'instant d'aprĂšs en mode table bancale contre un meuble. D'une Ăąme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider Ă  se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prĂ©nom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandĂ© si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espĂšre ? "Un rapide coup d’Ɠil et de narines, permit Ă  Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas Ă©tĂ© violent mais tout de mĂȘme. Cependant, mĂȘme si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris Ă  se demander pourquoi AĂ«lynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te dĂ©plairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme Ă©tait un peu blessĂ© par la rĂ©action de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place Ă  un petit rictus gĂȘnĂ©. MĂȘme s'ils n'avaient jamais Ă©tĂ© aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espĂ©rait quand mĂȘme un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survĂȘtement prĂ©fĂ©rĂ© qu'on avait oubliĂ© de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donnĂ© plus tĂŽt AĂ«lynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup d’Ɠil Ă  l'environnement. Une deuxiĂšme vendeuse se tenait Ă  la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupĂ©e. Grimaçant lĂ©gĂšrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te dĂ©ranger plus longtemps. Tu dois surement ĂȘtre occupĂ©e. "Était-ce l'unique Ă©chappatoire pour se tirer de cette situation plutĂŽt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi prĂ©cipitamment, la tournure de la situation l’exigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginĂ© que leurs retrouvailles se dĂ©rouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU❊ Était-ce bien sĂ©rieux de se laisser charmĂ© de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la rĂ©ponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'Ă©tait juste irrĂ©elle, oui, c'Ă©tait ça le terme, lui et toute cette Ă©nergie qui se passait entre vous... Tu croyais fĂ©rocement aux Ăąmes sƓurs, tu croyais rĂ©ellement que deux personnes Ă©taient destinĂ©e tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en mĂȘme temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'Ăąme-soeur, sa moitiĂ©, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette Ă©vidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu Ă©tais dĂ©jĂ  tombĂ©e amoureuse, tu avais dĂ©jĂ  connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu Ă©tais persuadĂ© que tu finirais avec, oĂč tu avais rĂȘvĂ© de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimĂ© de tout ton cƓur, pourtant, tu devais bien le reconnaĂźtre... MĂȘme s'il y avait eu de l'amour et de la complicitĂ©, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrĂŽlable, cette attirance dĂ©chaĂźnĂ©e. Tu n'Ă©tais qu'un pantin manipulĂ© par le fil du destin. Il est vrai que tu t'Ă©tais souvent imaginĂ© avoir un fil invisible au-dessus de ta tĂȘte oĂč l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante Ă  nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en Ă©tait trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la rĂ©alitĂ© Et vous, guĂ©rir toutes les mamies avec un regard pareil » RĂ©pliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais dĂ©jĂ . Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vĂ©cu une belle histoire d'amour avec un autre qui possĂ©dait la mĂȘme, un homme que le destin t'avait arrachĂ©. Ce charme familial. En prononçant son prĂ©nom et voyant son visage confirmer que c'Ă©tait bien lui, tu reculas, comme pour te protĂ©ger de cette attraction. Tu Ă©tais pourtant si prĂȘte Ă  te laisser embarquĂ©e dans ce bateau mystĂ©rieux, mais cette rĂ©vĂ©lation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais ĂȘtre ton Ăąme sƓur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida Ă  te remettre sur pied, Ă  contre cƓur, tu acceptas. Son touchĂ©, le seul touchĂ© de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colĂšre refirent surface. Bien sĂ»r que je n'Ă©tais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces derniĂšres annĂ©es, il avait abandonnĂ© son cousin, son cousin qui le considĂ©rait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais Ă©tĂ© trĂšs sympa avec moi lorsque nous Ă©tions enfants » RĂ©pondis-tu, c'Ă©tait une demi vĂ©ritĂ©, mais bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'Ă©tait le fait qu'il n'avait mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent pour les obsĂšques de ton fiancĂ©, de son propre cousin, et cela, ce n'Ă©tait pas pardonnable pour toi. Tu t'Ă©loignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquĂ©e, paralysĂ©e, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'Ă©tait pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais dĂ©tournĂ© la tĂȘte quand tu sentis son regard une derniĂšre fois se poser sur toi. Et c'est Ă  peine la porte fermĂ©e que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin Ă  ton tour James » t'Ă©crias-tu alors James tenait Ă©normĂ©ment Ă  toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'Ă©tais pas que son cousin, tu Ă©tais son frĂšre, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent lors de ses funĂ©railles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'Ă©tait une larme de colĂšre ou de tristesse, peut-ĂȘtre mĂȘme bien les deux, qui sait. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Cette situation, Alexys ne l'avait jamais vĂ©cue auparavant. Il y avait toujours une premiĂšre Ă  tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme dĂ©testait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment Ă©trange qu'il ne pouvait comparer Ă  aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui Ă©tait roulĂ© dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette AĂ«lynn, Alexys l'avait dĂ©jĂ  tellement mĂ©prisĂ© Ă©tant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collĂ© Ă  une basket ? OĂč qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'Ă©tait. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu Ă  l'instant prĂ©cis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensĂ© Ă  un effet secondaire au vampirisme. Cependant, aprĂšs de nombreuses recherches dans la littĂ©rature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© Ă  ce sujet. Et Ă©videmment, Twilight n'Ă©tait pas une rĂ©fĂ©rence, hein !Alors qu'Alexys dĂ©vorait littĂ©ralement du regard la jeune AĂ«lynn, la rĂ©alitĂ© le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumiĂšre. Pouf. Hypercute. KO total. Que rĂ©pondre Ă  ça ? La jeune femme avait totalement raison. DĂšs le moment oĂč Alexys avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, l'ambiance avait brusquement changĂ©. Le charme semblait avoir laissĂ© sa place Ă  l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrĂŽle. Il ne pouvait pas se dĂ©filer alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme Ă  la chasse, le plus important, c'Ă©tait d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette Ă©tape Ă©tait passĂ©e, il ne restait plus qu'Ă  apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammĂ©s que des mitraillettes prĂȘtes Ă  faire feux Ă  tout moment. Je 
 Euh. Disons simplement que l'Ăąge fait mĂ»rir notre intelligence. C'est bien connu 
 »Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultĂ©s. Comment justifier la bĂȘtise de sa jeunesse ? AprĂšs tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis 
 Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversĂ© comme le faisait la jeune femme. MĂȘme un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais rĂ©ussi Ă  faire fondre son cƓur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanĂ©ment ? Chacun de ses sourires rĂ©chauffaient son Ăąme. La regarder, Ă©tait un rĂ©el plaisir. Une rĂ©elle obsession. Un rĂ©el besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rĂȘvĂ©. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frĂŽlait bientĂŽt la sensation dĂ©sagrĂ©able, Alexys l'avait ressenti en aidant AĂ«lynn. Le dĂ©testait-elle autant pour frissonner de cette façon Ă  son contact ? Jetant un coup d’Ɠil rapide Ă  sa main, le jeune homme resta bloquĂ© un instant. Ses pensĂ©es dĂ©ferlaient dans son esprit comme les rapides d'une riviĂšre tourmentĂ©e. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il ĂȘtre exĂ©crable avec elle ? Devait-il la pousser d'oĂč il l'avait aidĂ© Ă  sortir pour se venger de sa rĂ©action ? Devait-il lui avouer son obsession ? OĂč devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais Ă©tĂ© sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sĂ»rement repoussĂ© dans le meuble sur lequel, elle Ă©tait tombĂ©e. Se moquant royalement de sa douleur. Étrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lĂąche. VoilĂ  ce qu'il Ă©tait pour le que ses achats Ă©taient rĂ©glĂ©s, Alexys pouvaient prendre ses jambes Ă  son cou et partir loin. TrĂšs loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitiĂ© de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignĂ©e, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cƓur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilĂ© depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espĂ©rĂ© ce contact 
 Aussi simple et bref avait-il Ă©tĂ© 
 Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa prĂ©sence semblait dĂ©ranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard dĂ©sespĂ©rĂ© Ă  la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il Ă©tait en possession de l'huile, autant la ramener Ă  la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la mĂȘme occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, Ă©tait de tout donner. Pourtant, alors que ses pensĂ©es s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pĂ©tanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas trĂšs rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraĂźtre dĂ©sespĂ©rĂ©, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiositĂ© ardente. Pourtant, le prĂ©nom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littĂ©ralement. Pourquoi accordait-elle tout Ă  coup, autant d'importance Ă  James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que dĂ©blatĂ©rait AĂ«lynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondĂ©ment. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort 
 James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer Ă  la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire 
 C'Ă©tait de lui crier dessus. Une vague de colĂšre l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passĂ© ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai mĂȘme pas donnĂ© l'heure, il y a quelques annĂ©es ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, AĂ«lynn. Je n'ai de compte Ă  rendre auprĂšs de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, Ă©taient durs. TrĂšs durs. MĂȘme trop durs. Le jeune homme se sentait en colĂšre. La colĂšre Ă©tant amplifiĂ©e par le cĂŽtĂ© vampirique, le rendait encore plus exĂ©crable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec AĂ«lynn. Alexys avait simplement balancĂ© les premiĂšres remarques qui lui Ă©taient venues Ă  l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'Ă©tat dans lequel elle se trouvait, l’énervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi rĂ©agissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre Ă  pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait Ă©tant jeune, c'Ă©tait sĂ»rement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion Ă  son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'Ă©pouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion Ă  AĂ«lynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait ĂȘtre vrai 
 Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point dĂ©crasser totalement la poignĂ©e du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scĂ©narios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel AĂ«lynn jouait la fiancĂ©e Ă©prise de son dĂ©funt qui n'Ă©tait pas si dĂ©funt que ça. Le meilleur ? C'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme dĂ©cida de choisir pour apaiser ses Ă©motions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'Ă©tait rĂ©veillĂ©. Un peu comme si ses Ă©motions Ă©taient passĂ©es en Off. MĂȘme s'il ne l'avouera jamais, entendre AĂ«lynn s'inquiĂ©tait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dĂ©gonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vƓux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop dĂ©cidĂ©, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua AĂ«lynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractĂ©risĂ© auprĂšs de ses anciennes conquĂȘtes, signe que la tempĂȘte Ă©tait proche 
 D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considĂ©ration ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelĂ© Ă  quel point je te mĂ©prisais quand nous Ă©tions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en Ă©tait pas de mĂȘme pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rĂȘve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui Ă©tais-tu pour lui ? Qui Ă©tais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'Ă©tais pas prĂ©sent, c'est sĂ»rement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours ĂȘtre joyeuses ? Ce qui Ă©tait sĂ»r, c'Ă©tait que l’impertinence et l’arrogance d'Alexys, allaient sĂ»rement lui jouer des tours 
 CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU❊ Comment cela Ă©tait-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu Ă©tais grossiĂšrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cƓur en crise de tachycardie et l'instant d'aprĂšs, la colĂšre, la tristesse et la rancune t’enivras. C'est dingue comme l'identitĂ© d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haĂŻs instantanĂ©ment, le tout, en un prĂ©nom. Bien sĂ»r, dit comme cela pouvait bien ĂȘtre ridicule, mais au final, il Ă©tait devenu un homme grand beau et trĂšs sĂ©duisant... Mais cela ne changeait pas rĂ©ellement qui il Ă©tait et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bĂȘte, tombĂ©e sous le charme pour la premiĂšre fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'Ă©tait vĂ©ritablement le comble. Tu Ă©tais pourtant la premiĂšre Ă  insulter les filles de sĂ©rie tĂ©lĂ© qui passe de frĂšre en frĂšre ou bien alors de gars en gars dans la mĂȘme bande de pote, les insultĂ©s de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu Ă©tais exactement pareil. Et tu te mis Ă  froncer les sourcils, si James Ă©tait encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indĂ©niable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas rĂ©pondre Ă  cette question, et au final tu ne prĂ©fĂ©rais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgrĂ© son identitĂ© connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida Ă  te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. IndĂ©niablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cƓur qui Ă©tait incontrĂŽlable, mais ton esprit et ton Ăąme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta rĂ©action Ă©tait la seule et la premiĂšre chose qui te vint Ă  l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » RĂ©pondis-tu gĂȘnĂ©e par la situation, par ce tourment entre ta tĂȘte et ton cƓur. Sans oubliĂ©e du coup, cette atmosphĂšre palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dĂ©gageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit rĂ©gler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'Ă©tait impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien Ă©tait, tu Ă©tais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire Ă  un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune Ă©tait bien plus profonde, bien plus enracinĂ©e dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'Ă©tablissement que tu rĂ©agissais enfin. Sans prĂ©venir ta vendeuse, tu quittas Ă  ton tour le magasin pour ouvrir ton cƓur Ă  cet homme si mystĂ©rieux. AprĂšs avoir sortit tout ce que tu avais sur le cƓur, il s'Ă©tait retournĂ© et tu pouvais voir la peine et la colĂšre dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dĂ©gageait. Bien entendu, tu avais Ă©tait dure avec lui. Et sa rĂ©ponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui Ă©tais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lĂšvre infĂ©rieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment rĂ©agir et surtout une intense colĂšre naquit vers l'homme que tu avais tant aimĂ©. Alexys n'Ă©tait-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils Ă©taient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait mĂȘme proposer d'ĂȘtre son tĂ©moin Ă  son mariage, mais au final, peut-ĂȘtre qu'il en Ă©tait rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tĂȘte, lui faisant face avec un regard sĂ©vĂšre. Tu n'Ă©tais certainement pas le genre de femme Ă  te laisser marcher dessus ou t'Ă©craser. Tu Ă©tais une Stuart aprĂšs tout C'est vrai, je n'ai pas Ă  te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » RĂ©pliquas-tu en croisant les bras en le dĂ©fiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'Ă©tait pas le cas de James, de votre trio de copain tu Ă©tais bien le seul Ă  ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final Ă  la seconde oĂč tu es parti, James et Angel sont restĂ©s tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune nĂ©gativitĂ©, nĂ©gativitĂ© que tu dĂ©gageais Ă  chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa rĂ©vĂ©lation, tu prĂ©fĂ©rais pas lui rĂ©vĂ©ler ta vraie relation avec son cousin, parce que dĂ©jĂ  il ne mĂ©ritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine maniĂšre, tu Ă©tais blessĂ©e que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre Ă  sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute Ă©vidence tu te trompe de personne, ta mĂ©moire est de toute Ă©vidence, dĂ©faillante » Fis-tu, une pointe blessĂ©e d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance Ă  donner ton avis sur tout, mais de lĂ  Ă  sermonner les autres, c'Ă©tait un peu fort quand mĂȘme. Et tout en cette situation Ă©tait que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son cĂŽtĂ© Ă  lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute Ă©vidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'Ă©tait tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'Ă©tait Ă  ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit prĂ©sente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et rĂ©agir. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Qui Ă©tait-il ? Qui Ă©tait-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'Ă©tait souvent posĂ© ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il Ă©prouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. TantĂŽt le loup dans la bergerie, tantĂŽt le mouton prĂȘt Ă  se faire dĂ©vorer par le loup. Sa transformation n'avait pas Ă©tĂ© un moment des plus agrĂ©able. Ne se considĂ©rant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goĂ»t aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grĂące Ă  son travail. Tenter de sauver des gens Ă  la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtriĂšres de vampire, Ă©tait d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers Ă©tait repartie avec la transformation de James, son cousin. MĂȘme si Alexys s'Ă©tait souvent reprochĂ© d'avoir donnĂ© cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui Ă©tait le plus important. Vivre le conflit perpĂ©tuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'Ă©tait Ă  souhaiter Ă  personne. Finalement, la donne avait rĂ©ellement changĂ© lorsqu'AĂ«lynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'Ă©tait un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espĂ©rait plus depuis ces derniĂšres annĂ©es. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'AĂ«lynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il Ă©tait hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fiertĂ© oblige. Je vais te le rĂ©pĂ©ter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis 
 » Dit-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien mĂȘme. Je suis nĂ© ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec la jeune femme l'amusait, Ă©tait trĂšs exagĂ©rĂ©. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherchĂ© et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il Ă©tait en rĂ©alitĂ©, irrĂ©mĂ©diablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'ĂȘtre aussi naturel que possible. AprĂšs tout, ce caractĂšre de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, AĂ«lynn ne se gĂȘnait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença rĂ©ellement Ă  le consumer de l'intĂ©rieur. Ses yeux Ă©taient plus qu'en Fire, consumĂ© par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu ĂȘtre aussi sĂ»re de ce que tu avances ? MĂȘme si je n'Ă©tais plus lĂ , j'Ă©changeais avec James frĂ©quemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer Ă  quel point tu Ă©tais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus AĂ«lynn tentait de dĂ©fendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincĂšrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir Ă©tĂ© injuste avec elle en Ă©tant enfant mais comment avait-elle pĂ» devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus dĂ©terminĂ©e. Et mĂȘme si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvĂ© quelqu'un Ă  sa hauteur, certaines de ses rĂ©pliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. AĂ«lynn ne semblait pas vouloir se faire malmenĂ©e par le jeune homme, et ce dernier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, mĂȘme contre vents et marĂ©es. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'AĂ«lynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les Ă©paules de la jeune femme et les serra lĂ©gĂšrement, son visage s'Ă©tant rapprochĂ© du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront Ă  ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute Ă  l'heure. Te crois-tu aussi irrĂ©sistible pour que je tolĂšre que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu Ă©tant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance Ă  James, je vais te dire une bonne chose 
 »Alexys s'Ă©loigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'ocĂ©an, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'Ă©tait un peu comme si son cƓur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'Ă©tait mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprĂ©ciĂ©. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissĂ© aprĂšs mon dĂ©part. Rien de plus. Alors arrĂȘte de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te dĂ©cevoir, il n'existe pas. Ou du moins 
 Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'oĂč AĂ«lynn Ă©tait prĂȘte Ă  aller pour sauver la mĂ©moire de James. Étrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitiĂ© Ă©tait certainement plus que ce qui liait la jeune femme Ă  son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais Ă©tait-il prĂȘt Ă  perdre AĂ«lynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU❊ Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractĂšre te repoussait au plus haut point et au fur et Ă  mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours Ă©tĂ© si mĂ©chant et dĂ©sagrĂ©able. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il ĂȘtre si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il Ă©tait deux personnes diffĂ©rentes en mĂȘme temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il reprĂ©sentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier Ă  l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invitĂ© au mariage. A part si, Ă©galement de ton cĂŽtĂ©, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il Ă©tait si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se dĂ©fendre. Et tu te dĂ©testais de croire ce que le magnifique et dĂ©testable blond te disait, salissant alors la mĂ©moire de celui que tu avais toujours aimĂ©e. Le tout en quelques minutes. Et vexĂ©e de cette situation, tu prĂ©fĂ©rais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux Ă  faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en Ă©tait impossible. Tu avais aimĂ©e terriblement James et il Ă©tait amoureux de toi, il te le disait constamment, aprĂšs tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui Ă©tait un amour et lui un horrible personnage. Etait-il rĂ©ellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour rĂ©pliquer, mais aucun mot ne sortit. AprĂšs tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'Ă©tait-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lĂšvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu Ă©tais tĂȘtue et tu avais bien l'intention de savoir la vĂ©ritĂ©. Tu croisais les bras en le toisant sĂ©vĂšrement Et toi, comment peux-tu ĂȘtre un connard arrogant et prĂ©tentieux Ă  ce point ? Tu disais que tu avais changĂ© et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractĂšre de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » RĂ©pliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour ĂȘtre si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'Ă©tait souvent comme ça Bien sĂ»r que je sais que tu Ă©changeais avec lui, tout comme il t'avait demandĂ© d'ĂȘtre tĂ©moin Ă  son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors dĂ©terminĂ©e et tu t’injurias, tu Ă©tais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgrĂ© la colĂšre que tu nourrissais pour lui, fis comme tout Ă  l'heure. Ton cƓur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tĂȘte. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximitĂ© diffĂ©rente tandis qu'il continua de dĂ©verser ses paroles haineuses. Tu rĂ©pliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait ĂȘtre vexer d'avoir Ă©tĂ© remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changĂ© strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas Ă  nouveau et tu compris, du moins, tu espĂ©rais ĂȘtre dans le vrai.. Cette mĂ©chancetĂ©, Ă©tait-elle pour la mĂȘme raison que la tienne ? Ou alors Ă©tais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mĂ©moire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et lĂ  c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose Ă  te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je prĂ©fĂšre me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de maniĂšre plus posĂ©e, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'Ă©tais pas si mĂ©chante que lui et cela ne t'amusait pas de blessĂ©e les autres. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Il y avait un dicton cĂ©lĂšbre qui disait Qui aime bien, chĂątie bien ! ». Pour le coup, la scĂšne qui se jouait devant la petite boutique, n'Ă©tait plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relĂąche les pires mĂ©chancetĂ©s. C'Ă©tait un peu Ă  celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'Ă©coulaient. Bien trop dangereux. MĂȘme si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur Ă©tait de perdre la jeune femme. Il l'apprĂ©ciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait Ă  elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait rĂ©ussi Ă  l'approcher, Ă  lui montrer qu'il existait, la situation virait Ă  la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimĂ© faire table rase du passĂ©. Ils n'Ă©taient que des enfants et les enfants sont toujours mĂ©chants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait AĂ«lynn Ă©tait bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginĂ©. Triste rĂ©alitĂ©. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prĂ©tentieux. Mais contrairement Ă  toi, je sais reconnaĂźtre mes dĂ©fauts. »Oui, Alexys Ă©tait un connard arrogant et prĂ©tentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquĂȘtes larguĂ©es comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalitĂ©, aussi dĂ©testables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le dĂ©cĂšs de ses parents alors qu'il n'Ă©tait qu'un bĂ©bĂ©, le manque d'amour paternel et maternel, la dĂ©mĂ©nagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutĂŽt Ă©tĂ© dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'Ă  un vulgaire mĂ©canisme de dĂ©fense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissĂ© approcher personne Ă  pars son cousin et sa grand-mĂšre. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle, il Ă©tait si dur avec les filles qu'il cĂŽtoyait. Aussi froid et impĂ©nĂ©trable qu'un puissant glacier d’antarctique. Et pourtant, lors d'une belle journĂ©e d'Ă©tĂ©, l’apparition de la jeune femme, lui avait rĂ©chauffĂ© le cƓur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espĂ©rait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des Ă©vĂ©nements du passĂ©. AprĂšs tout, tout le monde pouvait changer. L'univers Ă©tait rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillĂ©. AĂ«lynn ne lui avait laissĂ© aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'AĂ«lynn n’intĂ©ressĂšrent pas du tout le jeune homme qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©, perdu dans ses pensĂ©es. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'Ă©tait que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la rĂ©pĂ©tait en boucle. Son expression commença Ă  changer petit Ă  petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mĂšre venait d’abandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout Ă©tait de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'Ă©tait le pire. AĂȘlynn semblait vouer un culte Ă  James, lui qui avait tout abandonnĂ©, faisant croire Ă  ses proches qu'il Ă©tait mort. Pensait-elle que c'Ă©tait mieux que le dĂ©part d'Alexys contre son grĂ© ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'Ă©tait correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sĂ»r que non. Pour elle, James Ă©tait sur un pieds d'estalle. Si seulement AĂ«lynn savait 
 Continuerait-elle Ă  le dĂ©fendre bec et ongle ?Finalement, devant la rĂ©solution d'AĂ«lynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il dĂ©cida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissĂ© aucune chance AĂ«lynn. Du moment oĂč tu m'as reconnu jusqu'Ă  maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont Ă©tĂ© que reproches. », Alexys marqua une lĂ©gĂšre pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, mĂȘme mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifiĂ©. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversĂ©. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colĂšre Ă©tait descendue, la dĂ©pression reprenait le dessus. Entre colĂšre et dĂ©pression, il n'y avait qu'un pas et la limite Ă©tait encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys Ă©tait devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'AĂ«lynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant Ă  le regarder dans les yeux. Me dĂ©testes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grĂące Ă  tes yeux ? »Une pulsion le pris d’assaut. La proximitĂ© devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lĂšvres de celles de la jeune femme. MĂȘme sans les toucher, le jeune homme ressentait dĂ©jĂ  leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mĂ©lodie Ă  ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait lĂ©gĂšrement son Ăąme tourmentĂ©e, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni Ă  l'aimer, ni Ă  faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'apprĂ©ciait peut ĂȘtre un peu trop que pour lui infliger un baiser forcĂ© qui n'aurait aucune saveur, aucune Ăąme. Souvent, il s'Ă©tait amusĂ© Ă  imaginer leur tout premier baiser et ce n'Ă©tait certainement pas dans ses conditions. Totalement et dĂ©sespĂ©rĂ©ment rĂ©solu, Alexys se redressa et lĂącha le visage de la jeune femme. Peut ĂȘtre qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancĂ© un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'Ă©loignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne l’intĂ©ressait plus dĂ©sormais. Puisque le jeune homme n'Ă©tait qu'un connard, AĂ«lynn ne verrait sĂ»rement pas d'inconvĂ©nient Ă  ce qu'il la plante lĂ , devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU❊ Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombĂ© Ă  son charme, puis tu avais dĂ©couvert qui il Ă©tait. Cela avait tout changĂ© et plus les minutes s'Ă©croulaient et plus tu dĂ©couvrais sa vĂ©ritable personnalitĂ©, personnalitĂ© aussi dĂ©testable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencĂ© les hostilitĂ©s, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu Ă©tais bien trop entiĂšre, bien trop franche pour garder ce que tu avais Ă  lui dire dĂšs l'instant oĂč tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi Ă©galement, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes rĂ©flexions pour toi mĂȘme » RĂ©pliquas-tu, tu savais que tu avais des dĂ©fauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il Ă©tait tellement arrogant Ă  vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empĂȘcher aprĂšs tout. C'est le principe mĂȘme de ce que tu lui reprochait Ă  cĂŽtĂ© de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais rĂ©ellement Ă  douter de l'homme que tu avais jadis aimĂ©. Et alors qu'il continua Ă  ouvrir la bouche pour dĂ©blatĂ©rer des paroles tu te mis Ă  Ă©clater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as Ă©pargnĂ© depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon incomprĂ©hension » RĂ©torquas-tu Et sache que je me suis peut-ĂȘtre mal renseignĂ© sur ta relation avec ton cousin, mais toi tu es complĂštement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, littĂ©ralement et si tu Ă©tais si proche de lui,tu aurais dĂ» le savoir » Fis-tu alors en te mordant les lĂšvres, bien sĂ»r que cette pique Ă©tait sĂ»rement une bonne excuse pour qu'il puisse rĂ©pondre et sortit encore son venin. Alors qu'il s'Ă©tait rapprochĂ© d'elle pour ensuite s'Ă©loigner, il revint vers elle de nouveau son cƓur reprit ses battement irrĂ©frĂ©nable derechef Pourquoi je te dĂ©teste ? Pourquoi je pense que tu n'as pas Ă  changĂ© ? J'Ă©tais prĂȘte Ă  le croire figure-toi, et ensuite avec tout ce que tu m'as sortie, tu crois vraiment que je puisse trouver grĂące Ă  tes yeux ? Comment peux-tu te fourvoyer Ă  ce point ? » RĂ©pliquas-tu en le soutenant du regard Car James ne comptait pas pour toi, peut-ĂȘtre ? Je n'arrive pas Ă  comprendre cette rĂ©action » Fis-tu en fronçant les sourcils. De toute Ă©vidence, vous aimiez tous les deux James alors pourquoi le prenait-il mal mon attachement pour ce dernier. C'est Ă  ce moment lĂ  qu'Alexys s'approche de maniĂšre plus hardie de toi, ses lĂšvres touchant presque que les tiennes et tu te surpris Ă  vouloir goĂ»ter Ă  ces derniĂšres, Ă  sentir la pression de ses lĂšvres contre les tiennes, d'y connaĂźtre la sensation que cela pourrait te faire. DĂ©jĂ  que le sentir prĂšs de toi, en Ă©tait affolant. De maniĂšre presque automatique, tes yeux se fermaient presque tandis que tes lĂšvres s'approchĂšrent d'elles-mĂȘmes. Elles auraient pu se toucher, si seulement l'adonis blond ne s'Ă©taient pas Ă©carter, laissant tes lĂšvres fasses au vide. Tu ouvris les yeux plus amplement qu'il Ă©tait dĂ©jĂ  partit rĂ©cupĂ©rer ses affaires Je peux dire la mĂȘme chose » Fis-tu de mauvaise humeur, blessĂ©e, vexĂ©e et humiliĂ©e par ce baiser infructueux. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. Back to you. Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Voirplus de contenu de si je connaissais le con qu'a fait sauter le pont sur Facebook. Se connecter. ou. Créer nouveau compte. Voir plus de contenu de si je connaissais le con qu'a fait sauter le pont sur Facebook . Se connecter. Informations de compte oubliées ? ou. Créer nouveau compte. Plus tard. Publications des visiteurs. Pierre Charlier. 19 janvier 2015, 01:10. si je
HJR se RP est uniquement orale, il n'y aura aucuns combats, mais comme l'Ă  dit Xaldin, il faudrait rendre se forum vivant malgrĂ© la pĂ©riodes sombres que nous parcourons. c'est pourquois j'invite tout les motivĂ© a venir poster pour la sauvegarde de notre bon ForumDavlix avait quittĂ© le "HĂ©rants" ,afin de faire une petite promenade tranquille. Mais aussi parce qu'il avait entendut dire que l'endroit Ă©tait rĂ©putĂ© pour ses Chocobos que d'y penser, Davlix an avait l'eau a la bouche. seulement voila, quand on quitte le Jardin Radieux pendant un long moments, on ne reconnait plus trop bien l'endroit. Et se qui devait arriver arriva le garçon s'Ă©tait perdut dans les ruelles sombres de la ville. et bien entendut il avait laissait son Ă©pĂ©e au Mais quel idiot,pensa-t-il, si un sans-coeur me tombe dessus j'aurais l'air fin sans armes pour me le temps avancĂ©, et plus Davlix s'engouffrait dans des ruelle de plus en plus Ă©troites. Pour finir devant un entrepĂŽt Ă©tait vraiment en mauvaise Ă©tat, les fenĂȘtres Ă©taient complĂ©tement brisĂ©e, les mur Ă©taient fissurĂ©s de presque partout, et la moitiĂ© du toi manquer. certe ce n'Ă©tait pas un hotel 4 Ă©toile comme aimer le dire Davlix, mais il y avait un certain charme en se lieu qui poussa le garçon a entrĂ© dans cette vieille biquoque. l'intĂ©rieur Ă©tait a priorit plus acceuillant que l'extĂ©rieur de la batisse. des pneus et des caisses en bois Ă©taient disposĂ©s de part et d'autre et des vieux meubles Ă©taient disposĂ©s a d'autre endroit laissant croire que quelqu'un pouvait vivre ici. Mais qui ??Davlix se mit a regarder autour de lui d'un oeil mĂ©fiant, bien qu'il ne semblait pas chez lui, il ressentait nĂ©anmoins un certaine prĂ©sence dans les parrages. lorsque soudain, un son se fit entendre, Davlix se tourna vivemant dans la direction d'oĂč le son provenait, et y apperçut un pauvre petit chat noir. Ă©mut par la tristesse de l'animale, la garçon se dirigea vers lui afin de le ramener au vaisseau. encore fallait-il qu'il retrouve son cheminEDIT XALDIN je te remercie Davlix, je suis content de voir un membre aussi devouĂ© mais cependant arrivĂ© depuis peu de jours... Aussi, comme il l'a dit, il serait pas mal que ce topic soit assez peuplĂ© allons nous dire... Mais pas de combat bien 21 FĂ©v 2008 - 2235Aussi lamentablement qu’il ne le serait jamais plus, Xaldin Ă©tait dans une position peu fiĂšre comparĂ©e a sa rĂ©putation, toujours la mĂȘme tĂȘte haute, il regardait les choses en face et trouvait qu’ĂȘtre simili lui donnait le droit de ne craindre absolument rien
 Que ce soit des relations sociales, fiscales ou rivales
 Mais cette fois-ci, et bien heureusement, personne ne le voyait, il Ă©tait assit sur le sol, les jambes recroquevillĂ© sur lui-mĂȘme, ses bras, croisĂ©s sur les genoux et sa tĂȘte dans le trou que cela crĂ©ait
 Cependant, il n’avait pas l’air d’un mendiant, il ne se serait jamais abaissĂ© a un tel degrĂ© de dĂ©shonneur, il n’aimait pas ceux qui mendiaient a longueur de journĂ©e, lui qui Ă©tait un homme qui ne s’arrĂȘte jamais de travailler, il ne pouvait tolĂ©rer que la seule chose qu’une personne, aussi minable soit-elle, sache faire, est mendier
Il n’était pas tombĂ© dans une dĂ©pression nerveuse, une dĂ©sespĂ©rance ou une heure de dĂ©pression
 Il Ă©tait seulement las, son expĂ©dition avec les autres membres l’avait Ă©puisé  Cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas donnĂ© comme ça dans un combat, il avait donc prit l’initiative de laisser ses compagnons seuls, aprĂšs tout, ils Ă©taient 3 des membres les plus intelligents et dĂ©brouillard de l’Organisation
 Et puis, s’ils mĂ©ritaient le titre de membre de l’Organisation, il Ă©tait logique qu’ils sachent sans sortir sans le plus ancien, encore actif, membre de l’Organisation
 Il se reposait mais en mĂȘme temps repensait Ă  Xigbar et Ă  Xemnas, le supĂ©rieur. Il s’entendait bien avec Xigbar, bien que celui-ci n’ait pas vraiment une capacitĂ© a travaillĂ© sĂ©rieusement. Mais il regrettait de recevoir des ordres de Xemnas, il lui avait toujours Ă©tĂ© fidĂšle, et avait toujours exĂ©cutĂ© ses demandes dans les plus bref dĂ©lais avec un rĂ©sultat plus que satisfaisant
 Xaldin Ă©tait assez maniaque. Ensuite, il repensa Ă  Lexaeus, Le numĂ©ro V
 Il avait un esprit que le numĂ©ro III aimait beaucoup façon de parler, toujours silencieux, fort comme un bƓuf mais cependant d’une grande intelligence. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© travailler avec lui plutĂŽt qu’avec Demyx, qu’on lui avait imposĂ© bien souvent
Soudain, des bruits de pas lents et lĂ©gers s’approchĂšrent, dans un lieu aussi perdu, c’était un jeune garçon, dont Xaldin ne connaissait pas encore la nature. Le gamin posa un moment son regard vers l’endroit ou Xaldin Ă©tait mais celui-ci n’avait pas perdu son temps et avait sautĂ© avec une discrĂ©tion imparable sur un toit d’une grande maison
 Observant attentivement ce garçon, qui lui Ă©tait peu discret. Xaldin le suivait par les toits, sautant de l’autre cĂŽtĂ© des ruelles d’un saut agile quand il le devait
 Soudain, le gamin entra dans un entrepĂŽt, regardant un peu autour de lui
 Xaldin fit cette fois-ci un saut important pour atterrir sur une grande caisse en fer
 Il pensa mĂȘme avoir mal choisit son lieu d’atterrissage, apercevant Davlix entendre un bruit. Par chance, ce n’était qu’un chat, Davlix le prit dans ses bras et revenu en arriĂšre
 Mais une lame de lance Ă©tait posĂ© sur son Ă©paule droite, la lame se rapprochant de la gorge du garçon et s’arrĂȘtant suffisamment prĂšs pour faire croire a une menace
 Xaldin Ă©tait derriĂšre le garçon et s’était faufilĂ© lĂ  avec une dextĂ©ritĂ© lĂ©gendaire, il se tenait comme dans ses habitudes, un bras cette fois-ci derriĂšre le dos, et la tĂȘte fixĂ© droit devant lui, sans regarder le garçon
 Un silence s’installa alors, on pouvait cependant, entendre rĂ©guliĂšrement le miaulement faible du chaton que tenait le garçon
 Xaldin respirait doucement, presque aucunes vibrations n’émanaient de lui, il tenait le garçon en joue mais ne pouvait s’empĂȘcher d’éprouver de la fatigue
 Cependant, ce silence put faire remarquer a Xaldin qu’il n’y avait pas de prĂ©sence de cƓurs chez ce garçon, il s’agissait alors d’un simili
-Quelle fatalitĂ© prĂ©fĂšres-tu choisir, simili
 Mourir par les attaques de reflet, les miennes ou bien celles d’ombres. Je considĂ©rerais cela comme ta derniĂšre volontĂ© et peut-ĂȘtre, oublierais-je d’épargner ce problĂšme fĂ©lin
 Mais les sans-cƓurs feront-ils de mĂȘme
 Seul l’avenir nous le put apercevoir la frimousse du fĂ©lin dĂ©passer du corps du garçon
 Mais il n’avait pas l’air perturbĂ©, il Ă©tait claire qu’il n’était pas conscient du danger qui venait devant lui
Brusquement, Xaldin mit sa lance sur son Ă©paule, prit le garçon par l’épaule et le jeta un peu plus loin, oubliant lĂ©gĂšrement le chat
 Mais il n’était pas question d’un quelconque affrontement, Xaldin respirait plus bruyamment, rien que de faire cet effort l’épuisait
 Il s’était sĂ»rement battu comme un demeurĂ©, mĂȘme si sa vitalitĂ© Ă©tait restĂ© intact
 Il posa le pic de sa lame sur le sol, et la lĂącha
 La lance explosa subitement dans une onde de vent peu puissante
-Je suis trop Ă©puisĂ© pour voir un combat, ou pour y participer, que vais-je bien pouvoir faire de calma sa respiration et se remit parfaitement droit, prit sa cagoule par ses deux mains et l’enleva doucement
 Ses cheveux tombĂšrent, on pouvait voir les favoris et les traits durs de nous ne devons pas nous battre, je me prĂ©sente, je me nomme Xaldin
 PrĂ©sentes-toi simili
HRP J'espĂšre que tu acceptes une rĂ©ponse de ma part, ton sujet m'a bien plut... Et j'espĂšre aussi que d'autres, se joindront a nous...DerniĂšre Ă©dition par Xaldin le Jeu 28 FĂ©v 2008 - 1950, Ă©ditĂ© 2 fois_______________________________Mer 27 FĂ©v 2008 - 1937Davlix ne comprenait plus rien a se qui lui arrivait, l'inconnue encagoulĂ© apparaissait et disparaissait a une vitesse fulgurante. il s'amusait avec le garçon comme un chat avec une sourie, et devant une telle puissance, Davlix ne puovait rien faire d'autre que de subir les actions de l' remarqua cependant un dĂ©tail, l'homme ne cessait de parler d'un similis, mais de qu'elle similis exactement ?? il n'y avait rien d'autre a part lui et... le Quoi ?? un similis ?Davlix relacha l'animal avec Ă©tonnement, alors comme sa les similis pouvait prendre n'importe quel forme. Mais pourquoi s'en prenait-il a lui ??Le garçon tenta de rĂ©cupĂ©rer ses esprit et se releva tant bien que regarda rapidement autour de lui et s'arma d'une barre en fer qui tranait a ses cotĂ©s. en position de combat, il fit face a l'homme et ces Davlix devait se rendre a l'Ă©vidence. il n'Ă©tait pas de dites moi ce que vous voulez, mais laisser moi tranquille. je ne sais pas qui vous ĂȘtes, ni se que vous faites, alors laissez moi. ou sinon...Davlix finit par retrouver toute sa combativiter, elle Ă©tait prĂ©sente en lui, et il ressera d'avantage les mains sur son 28 FĂ©v 2008 - 018Xaldin observa le spectacle pitoyable qui se trouvait devant lui, Davlix avait lĂąchĂ© le chat pour une raison stupide, il semblait agitĂ©, et regardait partout
 Comme s’il cherchait Xaldin qui ne faisait que coincer Davlix pour ne pas qu’il bouge trop
 D’ailleurs, ce petit simili donnait l’impression qu’il essayait d’éviter des coups
 Or Xaldin avait bien vite rangĂ© son unique lance et il fut assez surpris Ă  la vue de ce petit homme
*Serait-il possible qu’il ne connaisse pas ses origines
 Comment peut-on ignorer un changement brusque du jour au lendemain et une perte de mĂ©moire sur certains faits du passĂ© incontestables
 Serait-il possible qu’il ait un cƓur et que je me sois trompĂ© ? *Xaldin Ă©vita d’un pas le coup de cette barre de fer, mĂ©prisant un peu l’attaque de ce supposĂ© simili
 Il ferma alors les yeux et essaya de dĂ©tecter une prĂ©sence de cƓur en ce garçon
 Il Ă©vitait les coups instinctivement, et put en dĂ©duire qu’en effet, il n’avait pas de cƓurs
-Tu es faible pour un simili, c’est ça ton arme ? Ne peux-tu pas la faire apparaĂźtre comme tout le monde
 Tu dois sans cesse ĂȘtre encombrĂ© par cette barre de fer j’imagine
 On se demanderait mĂȘme si tu es plus fort qu’un reflet ou mĂȘme d’une ombre
 Minable
Xaldin Ă©vita encore un coup, mais celui qui suivit Ă©tait difficilement esquivable, il avait au moins la dextĂ©ritĂ© d’un bon combattant
 Xaldin ne tenta rien, sauf d’arrĂȘter la barre avec sa main droite
 l’autre derriĂšre son dos, n’ayant pas bougé  Il n’y avait aucunes forces dans cette arme, il l’arracha des mains de Davlix et l’enfonça profondĂ©ment dans le mur le plus proche de lui
 Il espĂ©rait que ce simili calmerait ses ardeurs
 Il remit sa main droite dans son dos et observa le petit simili d’un ton grave
-Ne serais-tu pas lĂ©gĂšrement, entourĂ© d’hommes normaux, qui n’auraient pas considĂ©rĂ© ton problĂšme comme un problĂšme et t’ayant fait oublier qu’il restera prĂ©sent 
 Tu t’agites et t’excites comme si tu pouvais ressentir des sentiments
 C’est Ă©nervant, quand comprendrez-vous que les similis ne peuvent Ă©prouver de sentiments
 C’est en ignorant la vĂ©ritĂ© que l’on trouve la mort. As-tu dĂ©jĂ  Ă©tĂ© attrapĂ© par un sans-cƓur qui aurait rĂ©ussi a parvenir a ses fins ?HRP DĂ©solĂ© pour ce post moins bon que les autres..._______________________________Ven 29 FĂ©v 2008 - 2216Quelque chose de terrible se produisait ces temps-ci... Se cacher de toute forme de vie Ă©tait devenue une tache difficile... la forteresse oubliĂ©e n'Ă©tait plus du tout un lieu sur pour une personne affaiblie... Le comitĂ© de restauration... d'autre guerriers... et mĂȘme Sora, Kairi et Riku trainait de plus en plus dans les parages... A la grande limite, les premiers choix pourrait ĂȘtre semĂ©s facilement, mais les maĂźtres de la keyblade... ces personnes au coeur pur... ils pourraient causer d'Ă©normes soucis Ă  leur pire ennemi d'antan... Celui-ci Ă©tait encore en train de vagabonder parmis les passages des tĂ©nĂšbres les plus surs... Plus il passait de temps dans ce monde, plus il risquait de se faire repĂ©rer... Si il restait trop longtemps cachĂ©, personne ne voudrait s'allier avec lui... inversĂ©ment, si il reste cachĂ©, il ne risque pas de trouver des guerriers de la lumiĂšre... Pourtant, n'importe quelle personne au monde peut se faire envouter... se faire manipuler d'une quelconque façon... Il suffit de se rapeller de Riku... ce jeune garçon jaloux de son meilleur ami Sora... Il s'Ă©tait fait facilement manipulĂ© par un des maitres des tĂ©nĂšbres... le maĂźtre Ansem prĂ©cisĂ©ment... Il devait revenir Ă  la rĂ©alitĂ©... Il Ă©tait grandement temps de faire revivre sa terreur d'avant... de montrer que le plus puissant des sans-coeur Ă©tait revenu Ă  la vie... que cette mĂȘme personne allait entreprendre une grande vengeance contre la lumiĂšre... Pour lui, l'heure Ă©tait plus que passĂ©e... Il Ă©tait mĂȘme en retard... les gens ne craignait plus assez les tĂ©nĂšbres ces derniers temps, il fallait leur montrer qui Ă©tait leur ennemi... et qui sont les plus forts... Les plus faibles seront les perdants, et les plus rĂ©sistant seront ensemble et gagnants... Il lĂ©vitait dans les rues, ouvertement, les bras croisĂ©... il laissa son sourire narquoi faire mourir de peur les plus jeunes, les plus peureux... et aussi pour intimider les plus solides, ceux qui se croyaient plus fort que les autres... Il voulait se rendre dans un lieux qui ne devrait pas ĂȘtre trop peuplĂ© pour le moment, mais oĂč plus tard, serait remplis de monde... comme un bar, ou un restaurant... histoire de se montrer Ă  quelques passants, ou au serveur, ou le barman... que la rumeur se disperse... qu'elle se propage Ă  une vitesse folle parmis les mondes... Il arriva alors dans un petit restaurant, un misĂ©rable lieu oĂč les humains manger Ă  leur aise... mais ce qui Ă©tait beaucoup plus intĂ©ressant, c'Ă©tait les personnes qui y Ă©taient prĂ©sentes... Ansem lĂ©vita un moment, et regarda les deux similis... apparament, un membre de l'organisation serait en train de parler Ă  un faible simili... Il se rapprochait de plus en plus des deux ĂȘtres sans coeur, presque semblable Ă  lui... Il rigola intĂ©rieurement, et prit parole...-Alors comme ça l'organisation XIII impose ses rĂšgles Ă  leur compagnons infĂ©rieurs ? Des similis aussi puissant que vous devraient s'occuper d'affaires bien plus importantes... n'ais-je pas raison ? Je suis bien déçus de voir Ă  quel Ă©tat les maĂźtres de la keyblade vous ont rĂ©duis... je pensais avoir affaire Ă  des ĂȘtres moins mĂ©prisables que cela...Il tourna lentement son regard vers l'autre simili, celui qui venait d'attaquer le membre de l'organisation XIII...-Malheuresement pour vous, cet organisateur Ă  raison... Un simili n'a aucun droit sur les sentiments, vous autres, ĂȘtre dĂ©nuĂ©s de coeur, n'ĂȘtes rien sans nous, les sans-coeur...Fit-il, en levant une main, qu'il fermit, resserant son poing... Il recroisa Ă  nouveau son bras avec l'autre, attendant une rĂ©ponse des personnes prĂ©sentes ici... Il savait bien que l'organisation n'aurait aucune raison de s'en prendre Ă  lui... Ansem et ses futurs sans-coeur pourrait voler les coeurs des gens, ce qui permmetrais Ă  ces illuminĂ©s de l'organisation XIII de refaire un nouveau et puissant Kingdom Hearts... pour qu'il puisse refaire leur royaume dont ils rĂȘvent tant... pour avoir un coeur... Ansem lui, avait des ambitions bien diffĂ©rentes, mais prĂ©fĂšra ne pas en parler Ă  peine venait-il de montrer son retour...[dĂ©solĂ©, mais j'avais envie de venir, j'espĂšre que mon rp n'est pas trop misĂ©rable / ]Sam 1 Mar 2008 - 1906Kairi avait quittĂ© Sora et Thiodar un moment. Elle cherchait Riku qui avait si mystĂ©rieusement disparu, elle ne pouvait croire que c'Ă©tait pour de l'aide. Elle marchait traquillement dans la ville jusqu'Ă  ce qu'elle entende des bruits de batailles. D'ou cela pouvait venir. Elle cessa d'avancer un moment, pretant son oreille au moindre son qui se faisait entendre. Mais plus rien... La princesse de coeur se demandait bien qui avait pu faire ces bruits et pour quels bonnes raisons? Peut-ĂȘtre juste des mauvaises en fait. Elle recommença Ă  marcher comme si rien n'Ă©tait arrivĂ©, en regardant les enfants sur sa route qui avaient l'air terifiĂ©s par quelque chose. Pourquoi ils Ă©taient comme ça? Elle savait que ce n'Ă©tait pas elle, mais plutĂŽt ce qui Ă©tait passĂ© avant qui causait toute cette terreur chez ses jeunes. Elle savait ce qu'Ă©tait la peur. Elle la ressentait souvent. MĂȘme qu'elle la ressentait en cet instant mĂȘme. S'inquiĂ©tant sur la situation dans laquelle son ami pouvait ĂȘtre. Elle lança un doux sourire aux jeunes qui la regardait depuis un moment parce qu'elle mĂȘme les fixaits. Automatiquement les enfants eurent un sourire Ă  leur tour, cessant de trembler, de pleurer ou de gĂ©mir de peur. Alors qu'elle allait reprendre sa route elle entendit une voix. Une voix masculine et forte. MĂȘme si elle ne l'avait pas souvent entendu elle la reconnu. C'Ă©tait Ansem, le plus puissant des sans-coeurs qui est jamais existĂ©. Que faisait-il ici? N'Ă©tait-il pas mort? Kairi Ă©tait en colĂšre de le savoir la et elle comptait bien le montrer. Puis elle comprit le sens des paroles du "scientifique" et devina alors Ă  qui il parlait. Les deux personnes qu'elle avait entendu se battre Ă©tait deux similis. Un membre de l'organisation et l'autre un simili bien simple. La porteuse de la Keyblade se dirigea vers la source des paroles et vit le "grand" Ansem lĂ©vitant. Elle entra dans le lieux ou il Ă©tait et dit avec l'oiseau! Je veux bien croire que t'aime te faire remarquer, mais lĂ  tu exagĂšres un peu! Je m'incruste moi aussi^^"...Kairi est en colĂšre..._______________________________Dim 2 Mar 2008 - 1639Davlix ne comprenait plus rien a se qui lui arrivait, ainsi c'Ă©tait lui le similis, c'Ă©tait impossible, il n'avait pas leur apparence, alors pourquois est-ce que cet homme le lui rĂ©paitait ? il finit par se faire dĂ©sarmer avec une simpliciter dĂ©concertante et fur acculĂ© au mur avec force par l' souffle court il tenta de mieux en savoir sur les agissements de l' de...quoi vous parlez ? vous vous trompez de personne, je suis tout se qu'il y a de plus humain. et vous vous ĂȘtes qui d'abord ?la colĂ©re ne semblait pas s'attĂ©nuer en lui, il s'agitait dans tout les sens afin de se libĂ©rer de l'eprise de son ennemie, mais la douleur qu'il exercait sur son bras Ă©tait une autre voie se fit entendre, se fut celle d'un autre homme dont le visage resta inconnue car son angle de vision ne lui permetait pas de le il avait eu la certitude de l'avoir entendut dire que son agresseur Ă©tait aussi un similis, et principalement un similis qui devait lui ĂȘtre supĂ©rieur. mais comment ces gens pouvaient-ils dire que Davlix Ă©tait un similis. il voulait en savoir plus sur ses hommes, mais sa colĂ©re augmenter encore plus, le fait de lui annoncer qu'il n'Ă©tait pas pourvut de sentiments l'affliger au plus haut dites moi, sa voie se mit a gronder, qui ĂȘte vous pour oser insinuer que je ne connait aucun sentiments ? qui ĂȘtes vous pour oser dire que sans coeur, on ne peut ressentir la joie ou la tristesse ? et bien sachez une chose, moi, je suis loin d'ĂȘtre comme sa, CAR MOI J'AI UN Davlix se dĂ©boita l'Ă©paule soudainement afin de se libĂ©rer de son ennemie. la colĂ©re lui fit oublier la douleur, et il assĂ©na un puissant coup de coude a son assaillant en CA!! C'EST DE LA ce post est libre alors amusez-vous ^^Dim 2 Mar 2008 - 1755Alors que Xaldin tenait fermement, mais naturellement l’épaule du petit sagouin qui n’arrĂȘtait pas de se dĂ©battre
 Pas avec beaucoup de forces, mais il en fallait une certaine dose pour contenir la colĂšre du gosse
Il aurait sĂ»rement put le tuer en quelques secondes, mais ce serait inutile. Une soudaine fausse envie de s’en prendre a ce simili l’amusait. Il s’agissait sĂ»rement d’un ĂȘtre non-tĂ©nĂ©breux, il ne semblait mĂȘme pas dĂ©vouer sa vie au nĂ©ant. Aussi, il Ă©tait un simili assez puissant pour avoir une forme humaine, mais il Ă©tait incapable de faire apparaĂźtre son arme et ne semblait pas avoir un la voix qui se fit entendre quelques secondes aprĂšs l’inspection, ne pouvait ĂȘtre oubliĂ©e de Xaldin, cette voix sombre, cruelle mais sereine
 Elle Ă©tait trĂšs semblable Ă  celle du SupĂ©rieur de Xaldin, mais toute personne l’ayant cĂŽtoyĂ© ne serait-ce qu’une seule seconde, ne pouvait oublier cette voix
Il ne se retourna pas tout de suite, en entendant cette voix, et il ne pouvait cacher sa surprise devant cette aura
 -Sans-cƓur, ta prĂ©sence ici, n’est nullement apprĂ©ciĂ©e
 Et cela mĂȘme si tu es le chef de ta pauvre race, Ansem, autocrate sans-cƓur
Xaldin tourna violemment la tĂȘte, son regard se posa directement vers l’air fier d’Ansem, sans-cƓur qui avait tout gardĂ© de Xehanort, contrairement a Xemnas
 Xaldin lĂącha violemment Davlix et ne perdit pas son temps Ă  la parole
 Alors qu’il se prĂ©parait Ă  sortir ses armes, une nouvelle personne apparut dans ce hangar abandonnĂ©. Il ne la reconnut qu’aprĂšs quelques secondes, il ne lui avait pas parlĂ©, il lui avait seulement accordĂ© un regard mĂ©prisant, alors qu’elle Ă©tait dans une cellule dans Illusiopolis
 Quelques jours avant de se faire battre par le gosse, le rĂąleur et l’ahuri, ainsi que par la BĂȘte, qu’il avait fait souffrir quelques temps
 Devant un si surprenant spectacle, Xaldin se retenu de sortir ses lances
 -Une telle chose n’est pas bien courante, la colombe de Sora
 Le puissant maĂźtre sans-cƓur et un simili sans talent
 Je me vois dans l’obligation, de rabaisser le drapeau blanc, pour mettre fin a vos vies, trop longues pour certains
Xaldin posa instinctivement son regard vers Davlix, et disparut dans un nuage de fumĂ©e pour apparaĂźtre juste derriĂšre le simili, il posa sa main sur son Ă©paule gauche, encore une fois, et la pressa d’une force importante, mais il reçut un coup qu’il ne vu pas arriver
 Un coup de coude dans le ventre. Il ne put d’ailleurs que lĂącher sa prise, qui se dĂ©battait avec une force phĂ©nomĂ©nale
 Ce qui ne lui manqua pas de lui rappeler la fois ou il avait enlevĂ© la Belle et volĂ© la rose, et que il les avait lĂąchĂ© a la suite d’un puissant coup, qui d’ailleurs, Ă©tait trop puissant pour ĂȘtre d’une dame si faible
 Il se remit dans son Ă©tat normal, avec la pose qui lui convenait. Il posa son regard sur les trois personnes devant lui, fixant avec un regard froid chacun. Il s’arrĂȘta sur Ansem, avec une terrible envie de dĂ©gainer ses 6 te voir me rempli d’une dose de vengeance, que je n’oublierais sans doute jamais
 Et je suis dĂ©solĂ© de te dire que vous, sans-cƓur, ne pourrez jamais atteindre la perfection, ainsi que tous ces pitres d’humains
 Tandis que nous, similis, nous fions a notre Ăąme, et non par instinct, nous sommes presque parfait, il ne nous manque que le cƓur. Ce qui fait de nous, la race la plus puissante, et aussi, celle qui peut dominer le monde
 Vous n’ĂȘtes que des pions, mais je te l’accorde
 Le roi n’est plus grand-chose, quand l’entiĂšretĂ© de la race faible est dĂ©cimĂ©e
 Et contrairement a d’autre, j’ai reprit mon entrainement en oubliant ma dĂ©faite
En vĂ©ritĂ©, il Ă©tait clair que les sans-cƓurs Ă©taient bien utiles aux similis, qui eux, se montraient moins devant les ĂȘtres humains
 Ils permettaient aussi de rĂ©colter des cƓurs pour Kingdom Hearts. Mais Ansem, surgissait d’un lointain passĂ©, pas si lointain que ça, Xaldin avait put lui parler quelques fois avant qu’il ne disparaisse a nouveau
 il avait fait un lĂ©ger retour, avec comme disciple, un certain ModĂ©rĂ© Noir, qui avait joint la Coalition pour y mourir des mains de Xehanort
 A ce moment lĂ , Xaldin avait rĂ©veillĂ© sa colĂšre contre Ansem, qu’il considĂ©rait identique Ă  Xehanort. Mais elle n’était plus trop prĂ©sente, il avait rĂ©ussi Ă  le reconsidĂ©rer comme un sans-cƓur, et le traiter comme tel
 Xaldin soupira et passa Ă  Davlix, il Ă©tait d’humeur Ă  lui fournir des explications
-Ton air candide ne trompe pas ce que tu es vraiment
 Tu crois absolument tout ce qu’on te raconte. Tu me fais penser au NumĂ©ro XIII, sa stupiditĂ© et son entĂȘtement lui causera sa perte
 Il avait pourtant la puissance et l’atout pour rester dans le XIIIĂšme Ordre. Tu es un simili, et tu dois avoir une once de puissance si tu as rĂ©ussi Ă  avoir une forme humaine
 Tu es sĂ»rement le seul dans cette piĂšce Ă  ne pas l’avoir remarquĂ©. Pourquoi crois-tu que les sans-cƓurs, subitement, ont arrĂȘtĂ© de s’attaquer Ă  toi, je ne te connais pas, mais ça t’ais sĂ»rement arrivĂ©. Et ton arme, tu l’avais dĂ©jĂ  aperçu avant de l’avoir. Je n’essaierais plus de te convaincre, avec un minimum de rĂ©flexion, tu peux t’en rendre compte
Xaldin marqua une petite pause, pour ensuite, fixer avec un regard intimidant, Kairi. Elle Ă©tait assez courageuse pour venir jusqu’ici, mais elle ne le serait pas suffisamment pour s’attaquer Ă  Xaldin. Il lui prit l’envie de l’enlever, et de l’emmener au Manoir Oblivion, qui devrait ĂȘtre habitĂ© par le XIIIĂšme Ordre, s’ils pouvaient avoir un maĂźtre de la Keyblade
-Si tu es lĂ , c’est sans doute parce que tu es accompagnĂ© par certains de tes amis
 Veux-tu bien me dire leurs positions, j’estimerais peut-ĂȘtre, que je peux t’épargner
 J’ai une soudaine envie, de planter la tĂȘte du porteur de la keyblade, sur une de mes lances
_______________________________Dim 2 Mar 2008 - 2056Ansem regardait instinctivement les deux similis... Il Ă©tait fort concentrĂ© par ce petit simili... il cachait en lui un grand potentiel encore inexploitĂ©... Mais, vu les apparence, il serait assez dur de le manipuler... peut-ĂȘtre Ă©pouve-t-il de la jalousie ? MĂȘme si c'est un simili, il a surement une ambition, comme ces organisateurs sans scrupule... Cependant, quelque chose vint lui pertuber ses pensĂ©es... au loin, se fit sentir une grande Ă©nergie de puretĂ©... une telle puretĂ©... de qui pouvait-elle encore venir ? Une telle personne... D'innombrables souvenirs commencĂšrent Ă  lui revenir... Cette fille qu'il avait enlevĂ©e... non... ces nombreuses princesses de coeur... parmit celle-ci, la plus pure d'entre elle... et pourtant, ce n'Ă©tait pas la plus forte... la plus agĂ©e... non, c'Ă©tait l'amie de ce Riku... et celle de Sora... C'Ă©tait Kairi... Il commença Ă  s'impatienter Ă  l'envie de revoir cette jeune fille... cela fesait un an maintenant... Ses soupçons se confirmĂšrent quand cette fille imprudente s'approcha soudainement du grand maitre des sans-coeur...Il se mit Ă  sourire...-Tu est bien imprudente gamine... Sais-tu qu'a ce moment mĂȘme, je pourrais te prendre en otage... Je pourrais faire revenir Sora en moins de temps qu'il le faut, tellement il serait impatient de venir te sauver des griffes de son pire ancien ennemi... Je pourrais faire de Sora la mĂȘme chose que j'ai faites Ă  Riku... Au plus grand des dĂ©sespoirs, je reprend possession de ce garnement, mais deux fois la mĂȘme personne... cela risque d'ĂȘtre trĂšs dur...Fit-il, toujours les bras croisĂ©, Ă  quelques centimĂštre de hauteur... Il regarda toujours les alentours, guettant une arrivĂ©e subite de l'un des compagnons maitre de la keyblade de Kairi, la plus pure des princesses de coeur... Mais son attention se retena alors sur le membre de l'organisation qui Ă©tait prĂ©sent... Le jeune simili semblait Ă©ffarĂ© Ă  l'idĂ©e d'ĂȘtre un ce qu'il est rĂ©ellement... il devait avoir peur de se mettre Ă  croire qu'il n'avait pas de coeur... Cependant, ce qu'il disait Ă©tait trĂšs correct... Si il Ă©tait vraiment un simili, comment pourrait-il ressentir ce qu'il ressent ? La rĂ©ponse est simple, de la mĂȘme façon qu'un membre de l'organisation XIII fait semblant de ressentir des choses... ils y croivent tellement qu'il finissent par Ă©prouver de faux sentiments par la pensĂ©e... leur mĂ©moire Ă©voquent ces sentiments Ă  leur places... Ils en perdent le rĂ©el sens... Tout du moins, c'Ă©tait ce que pensait Ansem, scientifique dĂ©vouĂ© Ă  ses recherches qu'il avait menĂ© auparavent... Il se retourna alors vers ce mĂȘme membre... Et Ă©voqua ce qu'il pensait de sa remarque...-Et bien... faites simplement comme si je n'Ă©tais pas lĂ ... vous avez bien vĂ©cus sans ma prĂ©sence pendant plus d'un an, cela Ă©st dĂ©jĂ  beaucoup trop long... il va falloir que je refasse plusieurs choses selon ma volontĂ©... Mais, aujourd'hui, je n'ai pas envie de proclamer trop de menaces... dites vous simplement que vous avez la chance que je ne sois pas au meilleur de ma forme...Fit-il, rabaissant son sourire moqueur Ă  un air mĂ©prisable envers les personnes prĂ©sentes autour de lui...-En effet, les sans-coeur ne pourront sans doute jamais ĂȘtre parfait... mais pourquoi dites-vous que votre race insignifiante pourrait atteindre la puissance absolue ? Foutaises ! Mais ne vous inquiĂ©tez pas... Lorsque j'aurai appris l'absolue vĂ©ritĂ©, je pourrais vous en faire part, et mon montrez jusque oĂč vous vous ĂȘtes tromper...C'est alors que l'organisateur se mit Ă  parler du XIIIĂšme membre... cela ne pouvait ĂȘtre personne d'autre que Roxas lui-mĂȘme, le simili de Sora... Il ne pouvait pas vraiment en ĂȘtre fier... car ce sont ses propres sans-coeur qui ont fait de Sora un ĂȘtre dĂ©nuĂ© de coeur... et par la mĂȘme occasion, provoquĂ© la venue de cet incompĂ©tent de Roxas... Il aurait pu servir Ă  Ansem si il possĂ©dait un coeur, mais c'est loin d'en ĂȘtre le cas... Il se retourna subitement vers Kairi, et l'obligea, enfin, c'est ce qu'il laissait supposer, Ă  dĂ©voiler la position de ses amis... Ce membre est un peu trop abstrait... De toute façon, la simple prĂ©sence d'Ansem attirerait Sora et Riku... Surtout Riku, qui s'en voudrait tellement de ne pas avoir acheter le maitre des sans-coeur, de ne pas avoir Ă©tĂ© capable de l'Ă©radiquer de la surface des mondes...Dim 2 Mar 2008 - 2223Kairi ne fut guĂšre suprise par les paroles d'Ansem. Sauf la partie concernant la "possesion" de Sora. Comment osait-il penser que Sora se laisserais berner aussi facilement? Puis il parlait du fait que cela serait bien difficile et si il n'y parvenait pas il reprendrait Riku. Elle le reconnaissait bien. C'Ă©tait lui le premier Ă  l'avoir enlevĂ© et avoir tentĂ© de l'utiliser du mieux qu'il le pouvait. Franchement...il n'avait pas changĂ©... Mais Kairi ne prit pas la parole quand mĂȘme , trop occupĂ©e Ă  regarder qui Ă©taient les si mystĂ©rieux "combattants" de tout Ă  l'heure. Xaldin, un membre de l'organisation qu'elle avait dĂ©jĂ  vu, mais auquel elle n'avait jamais parlĂ© ou proposĂ© un combat. Un simple croisement de regard entre les barreaux de la cellule dans laquelle Saix l'avait enfermĂ©. Et puis comme opposant, il y avait un jeune homme, environs de son Ăąge. Mais elle sentait, Ă  son grand regret, qu'il n'avait pas de coeur et ne le savait mĂȘme pas. Quoi de plus triste? Penser que l'on ressent quelque chose, puis quelqu'un apparait un jour et nous dis " Tu n'as pas de coeur ". Puis le membre de l'organisation se mit Ă  faire un "tableau" de son avis sur chacun d'eux. DĂšs qu'il eut commencĂ©, la pricesse de coeur ressentit une grande dose de rage monter en elle. Comment osait-il affirmer que les humains ne pouvaient ĂȘtre parfait et les similis Ă©taient des splendeurs. C'Ă©tait complĂštement stupide de penser comme cela, surtout aprĂšs s'ĂȘtre fait battre. Personne ne peut ĂȘtre parfait et Kairi le savait. Ses deux amis et elle-mĂȘme en Ă©tait pour elle la preuve. Riku avait agit sans penser par jalousie et par peur. Sora lui n'Ă©tait pas toujours une lumiĂšre. Et elle, bahhh...elle avait le don de se mettre dans le trouble et de se faire enlever Ă  tout moment. Alors qu'elle pensait encore Ă  cela, Xaldin reprenait parole pour parler du mystĂ©rieux jeune homme dont-elle ne savait pas le nom. DĂšs qu'il mentionna le numĂ©ro XIII de son groupe, Kairi su que c'Ă©tait de Roxas qu'il parlait. Roxas n'Ă©tait pas idiot...mĂȘme que d'aprĂšs elle il Ă©tait un des membres de l'organisation les plus intelligent...car il avait su choisir le bon cĂŽtĂ©. Puis vint son tour. Xaldin avait devinĂ© la prĂ©sence de Sora et Riku qui Ă©tait bien Ă©vidente. Mais s'il pensait une seconde qu'elle dirait ou ils sont. Elle prit mĂȘme un air joyeux en disant -Vous me croyez stupide Ă  ce point. Vous ne connaissez toujours pas la dĂ©finition d'un ami. Un ami ferait tout pour garder son ami en sĂ©curitĂ©. Alors pourquoi je vous le dirais ou ils sont. Si j'Ă©tais vous, j'aurais tout de suite su que ça ne servait rien de poser cette question, car elle restera sans rĂ©ponse. Je ne sais pas ou est Riku...et pour Sora je peux juste vous dire qu'il entraĂźne un de vos futurs ennemis. Un maitre de la Keyblade..._______________________________Lun 3 Mar 2008 - 1500Devant les remarques que lui avaient fournit le Similis, et le sans-coeur, Davlix ne pouvait s' enpĂ©cher de l'admettre il Ă©tait rĂ©ellement un tous ses sentiments qu'il avait exprimer jusque la n'avait Ă©taient que du vide??, jamais il ne pouvait connaitre l'amour, la joie ou la haine??.ce n'etait qu'une "coquille vide", un ĂȘtre dĂ©nuer de coeur. dont le corp errait a travers les mondes sans vĂ©ritable but. Cette idĂ©e le fit traissallir, et chaque partit de son corp se mit a tremblait nerveusement. il sse sentait Ă©trangement lourd, ses jambes ne purent le supporter d'avantage et flĂ©chirent. le garçon s'Ă©croula, son regard vide fixait le sol, cherchant a s'Ă©ffacer de se monde, dans le but que le mal qui est en lui disparaisse voulut se rassurait en pensant que sa mort Ă©liminerait un similis, et que cela rĂ©duirait le nombre d'ennemie contre lesquels se bat Dex."Dex"... se nom raisonna en lui comme un Ă©chot, et ses souvenir en companie de son ami lui revenait rapidement Ils dĂ©filaient sans cessent, lui rappelant combien de fois il avait Ă©tait la pour lui, ainsi que les bon moments qu'ils avaient passaient a rire, faire les fous, ou encore a se alors qu'un Ă©clair traversa son esprit, celui-ci fut si intense que Davlix retrouva la force de ses jambes, il parvint a se relever, et regarda le similis droit dans les yeux. mais cette foix-ci, se n'Ă©tait ni de la colĂ©re ni de la haine que l'on pouvait y lire, mais un calme vous avez sans doute raison, je ne suis pas humain. en revanche, je sais que je loin d'ĂȘtre comme vous. je n'ais certe, pas de coeur qui soit connectĂ© aux autres, mais moi au moins je sui dotĂ© de quelquechose que vous autre crĂ©atures, vous ne pouvez comprendre. je possĂ©de des amis avec lesquels je peut vivre comme je l'entend, avec qui je partage des moments fabuleux, et avec qui j'ais apprit a diffĂ©rencier le vrai du faux...un faible Ă©clat apparut dans le creux de sa main-... l'amour et la haine...l 'Ă©clat luisait de plus en plus intensement-... le bien et le forte lumiĂ©re Ă©clata dans la main de Davlix, et de celle-ci en jaillit son Ă©pĂ©e-fouet, aussi tranchante et imprevisible que d'habitude. le garçon fixait le similis avec force, puis il pointa son arme dans sa quand a toi similis...bien que nous soyons de la mĂȘme race...tu ne comprendra jamais que l'amitiĂ© puisse remplacer le plus puissant des coeurs...car tu n'en Ă  jamais eu, et que jamais tu n'en 4 Mar 2008 - 1540Xaldin ne murmura de mots, quand Ansem doutait de la perfection que peuvent atteindre les similis
 Et quand la jeune maĂźtre de la keyblade rĂ©ussit a s’imposer avec des paroles vantant les mĂ©rites de Sora, il ne fit qu’un signe de dĂ©gout, car en effet, il Ă©tait dĂ©gouté  Il ne voulait pas tuer Sora, du moins, ce n’était pas sa prioritĂ©, mais il ne pouvait s’empĂȘcher de serrer le poing a l’entente de son nom
 Ansem, lui aussi Ă©tait bien impudent, il Ă©tait mal placĂ© pour faire la morale aux similis, contrĂŽlant, une armĂ©e de bĂȘte qui n’ont mĂȘme pas la capacitĂ© de rĂ©flĂ©chir, contrairement aux similis
 Bien sĂ»r, s’il y’avait bien une exception, c’était Ansem, il avait l’intelligence d’un simili supĂ©rieur, ainsi que sa force et sa vivacité  Peut-ĂȘtre trop Monocrate
 Mais a lui rĂ©ussissait depuis dĂ©jĂ  bien longtemps
 Les similis Ă©tant beaucoup plus rares que les sans-cƓurs, il avait rĂ©ussi Ă  assembler un grand nombre de sans-cƓurs, et les contrĂŽlait tout seul
 Ne considĂ©rant le Conseil malĂ©fique, que comme les chefs des pions, qu’il considĂ©rait tout de mĂȘme pour des pions
 Xaldin ne pouvait s’empĂȘcher d’éprouver un peu d’admiration devant une telle dose de force morale. A part quelques surdouĂ©s et Ansem, personne ne pouvait surpasser l’intelligence des 6 premiers, qu’ils avaient hĂ©ritĂ© du grand Ansem le y’a une bonne raison a notre rapprochement a la perfection
 Tout d’abord, tes laquais ne rĂ©flĂ©chissent pas, ils obĂ©issent a tout tes ordres et sans exceptions
 Nous, sommes plus apte a commander, et nous sommes la trace de l’élite des prĂ©sences humaines, alors que vous, prenez au hasard vos cibles. Ensuite, parce que nous n’avons pas de cƓur, mais je m’en vante le moins possible
 Un homme, aussi dur soit-il, mĂȘme si il a une force extraordinaire, une vivacitĂ©, une dextĂ©ritĂ©, une puissance et une intelligence extraordinaire, il aura toujours la faiblesse d’avoir un cƓur, et au bout d’un moment, il va en subir les consĂ©quences
 Nous, similis, n’agissons pas par conscience, nous ne pouvons Ă©prouver ce qui est semblable Ă  des sentiments
 Mais ne crois-tu pas, Ansem, que nous devrions arrĂȘter momentanĂ©ment de savoir quelle est la plus puissante de nos deux races
Xaldin tourna a nouveau son dos aux trois personnes, mais un bruit lourd rĂ©sonna derriĂšre lui, il croyait d’ailleurs en connaĂźtre l’origine
 Mais il prĂ©fĂ©rait ĂȘtre sur de ses avancement, il tourna lĂ©gĂšrement et put voir le simili effondrĂ© sur le sol
 Xaldin le fixe d’un air grave et mĂ©prisable
-Tu as si peu d’amour propre, il n’est pas amusant de rabaisser un ĂȘtre aussi faible
 Bien sĂ»r, si on considĂšre que je ne peux m’amuser
 Quel dommage, n’est-ce pas, il a fallut que rire sincĂšrement soit un sentiment
Xaldin ramena sa tĂȘte devant lui et fit quelques pas, comme pour quitter la salle, mais il n’en Ă©tait rien
 Faire les 100 pas Ă©tait plus juste, bien qu’il n’y ait pas besoin d’intenses rĂ©flexions
 Il commença donc sa petite marche, mais fut bien vite interrompu par le redressement du simili
 Il tourna plus violemment sa tĂȘte, un peu surpris par cette nouvelle puissance qui semblait faire son apparition
 La faible lueur qu’il y’avait dans la main de Davlix s’amplifiait encore et toujours, il y’avait mĂȘme hĂ©sitation sur l’origine de cela
 Était-ce la dĂ©couverte d’un pouvoir ou de l’arme, ou bien Ă©tait-ce le fait d’appeler son arme, rien qu’en y pensant
 Cependant, ce don s’attrapait dĂšs la crĂ©ation du simili, mais il semblait que ce soit lĂ  car le simili n’avait pas l’air surpris de ce qui allait suivre
Xaldin se retourna complĂštement a la vue de cette Ă©pĂ©e, peu commune, mais il ne pouvait en dĂ©celer la nature
 Un petit rictus satisfait apparut sur son visage
 Il posa son regard sur Ansem, puis sur Kairi, mais assez rapidement, comme pour voir leurs expressions
-Je t’aurais au moins servi a quelque chose simili
 Cependant, mĂȘme si je suis un simili, j’ai ma fiertĂ©, et, vois-tu
 Les gens qui pensent que nous, les similis, avons toujours Ă©tĂ© dĂ©nuĂ©s de cƓur
Pendant les paroles qui suivirent, une aura mauve commença Ă  s’évader de Xaldin, et en mĂȘme temps, l’enveloppait
 Mais quelques secondes aprĂšs, Le numĂ©ro III put calmer sa fureur forcĂ© pour reparler normalement
-M’ont toujours mit hors de moi
 Je t’aurais permit de dire ça, si tu avais put connaĂźtre Dilan, mais ce n’est pas le cas, j’ai le souvenir de sa vie, et jamais, je n’ai rencontrĂ© un ĂȘtre qui tient tant a la mort
 Tu contrĂŽles le potentiel de ton arme depuis 20 secondes, et tu penses que c’est suffisant, pour battre quelqu’un qui contrĂŽle ses armes depuis des dizaines d’annĂ©es
 J’ai eut des amis, dans ma vie intĂ©rieure
 Dilan en a eut, et il n’a perdu son cƓur, qu’aprĂšs ĂȘtre devenu assez fou pour joindre Xehanort
 Vous, ĂȘtres neutres, ou bien mĂȘme du bon cĂŽtĂ©, ne voyez pas que vous caricaturez tout le monde... Ce n’est pas parce que nous sommes mĂ©chants », comme vous aimez tant nous le dire, qu’on l’a Ă©tĂ© toute notre vie
 Vous ne pouvez pas voir plus loin que ça, c’est encore une faiblesse propre a vous
 Cela en fait beaucoup trop pour une seule race
 Nous, similis et eux, sans-cƓurs, savons pertinemment bien faire la diffĂ©rance entre le bien et le mal
 Car il n’y a pas une seule diffĂ©rance entre nous et vous
 HRP DĂ©cidĂ©ment, Kairi, t’as pas compris ce que je t’avais dit avec Xehanort
 Il n’y a pas de gentils et de mĂ©chants dans le monde
TrĂšs bon posts, sans exception
 Je demanderais juste a Davlix de mettre des Maj. aprĂšs les points
_______________________________Mer 5 Mar 2008 - 1633Davlix regarda dabord avec Ă©tonnement son semblable, puis ce fut une once de tristesse qui parcoura ses Alors comme ça, vous avez vous aussi sut ce que voulait dire amitier. Vous resentez encore au plus profond de votre Ăąme les bride de se qui fut de la joie et de la haine. Seulement, vous refuser de les faire rejaillir, vous prĂ©tendez que le fait d'avoir de faux sentiments nous rendent infĂ©rieur ??. Pourtant, vous vous dites parfait, mais la perfection elle-mĂȘme a un prix, vous avez sacrifier se qui rend chaque personne se qu'elles sont dans un monde oĂč nous somme tous connectĂ©s les un aux autres. Vous avez sacrifier votre part d'humaniter pour obtenir le pouvoir. Et bien sachez une chose, jamais je n'accepterer le fait d'ĂȘtre comme vous. Ma nature et vos parole me dise le contraire, mais au fond, je sais que ma place est auprĂ©s de se qui est juste. et vous...vous ne faite pas partit de se renguaina son arme, et commenca a se diriger vers la jeune fille dont l'aura Ă©tait aussi pure que la neige. Sans apporter la moindre attention envers le 19 Mar 2008 - 1447[HRP Big Sorry, mon petit frĂšre nous a ramenĂ© un trojan horse, j'ai du reformater le pc -/-]Ansem Ă©tait en train dĂ©couter atentivement chaque paroles de chaques personnes... Kairi, elle, semblait ĂȘtre fort fiĂšre d'avoir des amis comme Sora et Riku... ces trois garnements ont toujours eu leur principes d'amitiĂ© soudĂ©e... pourtant, Riku Ă  Ă©tĂ© facilement maniupable... il s'est laissĂ© possĂ©der par mon esprit aussi facilement que je l'aurai eu pour une simple ombre... pourtant, je n'ai jamais fait de ce maĂźtre de la keyblade un sans-coeur... il est restĂ© humain... ce qui est une fort bonne chose... imaginĂ© un instant... Un simili de Riku... un tel simili, avec Roxas, aurait pu devenir trĂšs gĂ©nant pour la suite des Ă©venements... Ce qui n'est pas le cas heuresement pour lui et l'organisation XIII... Ansem regarda alors ce simili, jeune guerrier... comment n'a-t-il pas remarquĂ© plus tĂŽt qu'il Ă©tait un simili ? Fort Ă©trange... mais apparament, cela lui semblait fatidique... dramatique... En voyant une telle rĂ©action de la part de l'Ă©corce vide, Ansem eu un sourire ricannant, et dĂ©goutĂ© de l'air pitoyable qu'avait ce jeune simili... Xaldin, lui, le dĂ©goutait encore plus, avec ses propos... se croyant supĂ©rieur aux autres, et parlant de son ancienne vie comme d'une autre personne... Ce n'est pas Ă  ce simili de raconter des sotises... aprĂšs tout, Ă  douze, ils ont encore rĂ©ussis Ă  perdre leur combat... sĂ©parĂ©ment certe, mais mĂȘme Xemnas Ă  sucombĂ© Ă  Sora et Riku... alors qu'Ansem lui, Ă©tait seul, avec l'aide de Riku qu'il avait manipuler...-Pff misĂ©rable existence... Moi, je n'ai pas de maĂźtre, et je ne dois de compte Ă  personne... c'est ce qui me permet d'ĂȘtre libre de mes choix... Et je te rapelle que je suis moi aussi un scientifique... j'ai Ă©tudiĂ© pendant longtemps le comportement de ces sans-coeur, et je provien du mĂȘme original que votre chef... J'ai presque autant de connaissance que lui, donc de vous par la mĂȘme occasion... MĂȘme Ansem le sage le savait... vos recherches, vos expĂ©riences vous ont menĂ© Ă  votre perte... Je n'ose imaginer le fruit de vos dĂ©couvertes, que je prĂ©fĂšre mĂȘme pas en entendre parler...Il termina sa phrase avec un air de dĂ©gout, et regarda Ă  nouveau le jeune simili qui se relevait doucement... Etrangement... ce jeune garçon commencait Ă  dĂ©gager une faible Ă©nergie perceptable par le maitre des sans-coeur... Celui-ci afficha alors un lĂ©ger sourire, en voyant le simili montrer sa volontĂ©... ainsi, les pauvres organisateurs n'arrivaient mĂȘme plus Ă  diriger leur alliĂ© ? De plus en plus de similis se rebellents... tel Roxas, et maintenant, ce garçon qui prĂ©tend n'avoir jamais servit en tant que simili, mais en tant qu'un ĂȘtre bien vivant... C'est Ă  se demander si cette organisation XIII sert rĂ©ellement Ă  quelque chose... surtout de puis qu'elle s'est dissoute... Ansem se mit Ă  rĂ©flĂ©chir sur ce point... A quel point en sont les groupes de personnes Ă  ce jour ? Xehanort lui en avait parlĂ© lors de sa rĂ©ssurection dans le manoir Oblivion, mais sans Ă©normĂ©ment de dĂ©tails... et depuis cette rencontre, les choses ont peut-ĂȘtre changĂ©e... Il fut vite sortis de ses esprits par la lumiĂšre Ă©manante du paume de la main du simili rebelle... une Ă©pĂ©e avec une drĂŽle de forme en apparut subitement... ainsi, il avait perçus l'essence mĂȘme de son arme... il peut alors lui aussi matĂ©rialiser une arme dont il pourrait se servir pour battre ses adversaires... Il rengaina alors son arme aprĂšs un ridicule petit discours sur les sentiments et sa vie... Ce qui laissa indiffĂ©rent Ansem, qui le regardait d'un regard trĂšs attentif quand mĂȘme... ce garçon avait du potentiel inexploitĂ©... Il se battait pour une cause qui lui est juste, chacun son point de vue... il sera dur de le faire changer d'avis... mais il prononça un prĂ©nom... Dex... Est-ce le prĂ©nom du simili ? Ou simplement un ami de celui-ci ? Qu'en est-il de cette personne ? Le maitre des tĂ©nĂšbres n'en savait rien... mais vu les circonstances, ce n'Ă©tait surtout pas le moment d'en parler, pas devant Xaldin... Il vit alors la princesse de coeur Kairi se rapprocher du simili... elle devait se sentir en meilleure compagnie avec lui qu'avec nous... ce qui n'Ă©tonne personne d'ailleurs... Ansem se tut, et resta observateur Ă  ce qui allait se passer en face de lui...Jeu 20 Mar 2008 - 2145Kairi Ă©couta encore une fois les paroles de Xaldin, le mystĂ©rieux simili et Ansem qui continuaient Ă  avoir des opinions opposĂ©es. Xaldin se disant encore parfait, Davlix jettant des commentaires sur les paroles de ses interlocuteurs et Ansem se vantant d'ĂȘtre son maitre Ă  lui seul. Kairi commençait Ă  trouver que le membre de l'organisation et le cĂ©lĂšbre sans-coeur se prennaient un peu trop la tĂȘte. MĂȘme que ça lui rappellait ses deux meilleurs amis se faisant une joute vocale pour trouver lequel Ă©tait le plus fort et en gĂ©nĂ©ral Riku gagnait car Sora ne restait pas intelligent trĂšs longtemps >.< . Visiblement ennuyĂ©e par les paroles des hommes qui l'entouraient elle fit comme quand elle Ă©tait avec l'argentĂ© et le jeune porteur de la Keyblade, elle s'assit au sol en soupirant longuement. MĂȘme si elle n'osait pas le dire, elle pensait prĂ©cisement ceci * Pfff...ils ne changerons donc jamais ces ennemis. Ils trouvent toujours un moyen de rendre les choses plus longue qu'elles ne le mĂ©rite en sortant des exemples bidons pour toujours en venir Ă  la mĂȘme conclusion..."On est les plus fort on va vous battre Ă  plat de couture et ça et ci..." Du blabla inutile!.... * Maintenant assise par-terre, elle lançait un regard dĂ©solĂ© aus jeune simili qui ne leur avait toujours pas rĂ©vellĂ© son prĂ©nom en voulant exprimer que seule elle ne pouvait rien y faire au risque de mourir sur le coup et laisser Sora avec sa mort sur la consience. Car Sora dirat probablement " Je n'aurais pas du la laisser partir seule et aussi loin. Encore une fois je la perd" et ainsi de suite. Si seulement elle pouvait fait venir son arme pour attaquer l'ennemi en Ă©tant sur de le battre, soyez surs qu'elle ne se gĂȘnerait pas DU TOUT..._______________________________Ven 21 Mar 2008 - 252Xaldin prit un ton d’énervement a peine perceptible
 Ce petit simili avait une vision des choses beaucoup trop innocente, il ignorait tout de la vie
 Sans doute pensait-il, qu’il lui suffirait de parcourir les mondes avec des compagnons stupides. Sans rien essayer pour ĂȘtre comme eux
-Bien sĂ»r
 Tout les similis, qui n’ont pas le cran, de se dire qu’ils n’ont pas de sentiments, sont des lĂąches, vous Ă©vitez le problĂšme avec maladresse
 Et vous n’exploitez pas votre entier potentiel avec ceux qui vous sont communs
Xaldin pointa de sa main, le maĂźtre sans-cƓur
 Tout en regardant le jeune simili. Quand il pensait Ă  Ansem, il pensait automatiquement Ă  ses laquais, les sans-cƓurs, et ils pourraient faire un parfait exemple
-Prends les sans-cƓurs, je les considĂšre comme des crĂ©atures insignifiantes, mais quand ils sont sous les ordres de leur maĂźtre, il se voit beaucoup plus puissant, avec une vraie tache
 Les similis sont faits pour rester avec les similis
 Les sans-cƓurs doivent rester avec les sans-cƓurs. C’est en restant avec ses semblables que l’on se dĂ©veloppe
Je t’aurais sans doute proposĂ©, de devenir un alliĂ© au XIIIĂšme Ordre, mais je connais dĂ©jĂ  ta rĂ©ponse et de plus, il y’a tellement de paroles qui n’auraient pas dut ĂȘtre prononcĂ© dans ce monde, qu’il vaut mieux rester dans le silence
Xaldin abaissa avec dĂ©termination sa main, pour se retourner complĂštement vers Ansem
 Le seul ĂȘtre prĂ©sent, qui avait des objectifs que l’on pourrait qualifier de diabolique. Xaldin ne considĂ©rant pas que la cause des similis Ă©tait inhumaine, elle Ă©tait tout Ă  fait naturelle, mais sans doute, l’était-ce, car lui, le voulait
 La force de la volontĂ© peut changer bien des choses
 Ansem, gouverneur des sans-cƓurs, en Ă©tait la preuve vivante. Il avait une influence si importante sur le dĂ©roulement des choses, qu’il pouvait obtenir tout ce qu’il dĂ©sirait. Et il l’avait obtenu. Il allait sĂ»rement atteindre le plein pouvoir, s’il n’avait pas Ă©tĂ© aveuglement poussĂ© Ă  franchir Kingdom Hearts
 Il ne se rendait pas compte, que la lumiĂšre des cƓurs avaient anĂ©anti les tĂ©nĂšbres, et l’avaient anĂ©anti lui
 C’était cela la grande diffĂ©rance entre les similis et les sans-cƓurs
-Comme tu l’as dis, Ansem, tu es aussi un scientifique
 Et je ne nie pas que ton intelligence doit dĂ©passer la mienne
 Il est Ă©trange, de nous dire, que toi et Xemnas, venez d’une mĂȘme personne, Xehanort, mais que vous ĂȘtes si diffĂ©rant
 Un sans-cƓur est bien diffĂ©rant d’un simili, et mĂȘme s’ils viennent d’une mĂȘme personne
 Et pourtant, cette diffĂ©rance est si insignifiante, aux yeux des hommes. Vous ĂȘtes tout simplement, des crĂ©atures des tĂ©nĂšbres, alors que nous, provenons du nĂ©ant. AprĂšs tout, nous ne sommes que des coquilles vides, que rien
 Nous sommes l’inexistant. Et j’essaie de t’envier, Ansem, car toi, tu as la chance de reprĂ©senter quelque chose. Mais je sais que si je veux un cƓur, j’ai besoin du reste du XIIIĂšme Ordre, et du SupĂ©rieur
 C’est uniquement pour cela, que j’agis sous les ordres de quelqu’un. Puisses-tu comprendre cela, maĂźtre sans-cƓur
Xaldin commença alors Ă  marcher, ne regardant plus personne
 Juste l’ombre, que crĂ©ait une armoire. L’ombre portait bien son nom, on ne voyait que le nĂ©ant, dans ce noir parfait. Xaldin s’arrĂȘta devant cette armoire et mit son dos contre, Ă  moitiĂ© dans l’ombre
 MĂȘme si, a jamais, il y resterait, en tout cas
 En tant que simili. Sans doute, son habit des plus sombres en faisait la preuve. La cagoule sur sa tĂȘte cachait totalement son visage grĂące Ă  l’ombre qu’elle dĂ©gageait. C’était une forme de pudisme extrĂȘme. Aucune des parties du corps du membre n’étaient dĂ©voilĂ©s
Une envie s’emparait peu Ă  peu de lui. Il avait fixĂ© son esprit sur le chĂąteau de la BĂȘte, qu’il avait essayĂ© d’envouter. Il voulait terminer la mission qu’il n’avait jamais put terminer, Ă©tant mort, sur le pont majestueux. Et il estimait qu’il avait eut une belle mort. Tout seul, contre Sora, le rĂąleur et l’attardĂ©, ainsi que la BĂȘte, qui avait Ă©tĂ© le plus fort lors de ce combat. Car Xaldin ne voulait accepter que ce fĂ»t Ă  cause de Sora qu’il avait Ă©choué  Il avait une telle dose de stupiditĂ© et de manque de maturitĂ© que cela en devenait extrĂȘmement exaspĂ©rant
 Comment un garçon de 16 ans, qui contrĂŽlait son arme depuis 3 ans, avait put battre, La Lance Tourbillonnante
 NumĂ©ro III du XIIIĂšme Ordre, dont le sens de la manipulation faisait sa rĂ©putation. Sans oublier qu’il Ă©tait l’un des membres le plus compĂ©tents, polyvalents pour ses connaissances. Il Ă©tait fort, intelligent, d’une forte dextĂ©ritĂ©, manipulateur, persĂ©vĂ©rant
 Il faisait le guerrier parfait, mais il avait perdu. Et une envie de se sentir honteux s’emparait de lui. Ne pas ressentir de la honte, Ă©tait une douleur
La BĂȘte, par contre, avait une force colossale, Ă©tait intelligent, bien que d’une grande impatience, et dotĂ© d’un cƓur bien fragile
 Mais une crĂ©ature aussi intĂ©ressante que lui, avait plus le droit de tuer un simili du niveau de Xaldin, qu’un guerrier pas sorti de son enfance, qui vit mal sa puberté -Tant d’espoirs que vous gardez, pensant que votre volontĂ© si pathĂ©tique pourra sauver la mise de votre destin
 Nul ne peut Ă©chapper Ă  ce qui est Ă©crit, dans les toiles, des sƓurs, dessinatrices de la mort. Pourquoi s’attacher a un gamin si immature, et insupportable a l’écoute. Pourquoi nommer responsable, un bambin, qui ne sait ce que c’est, que d’ĂȘtre un homme fort et digne. Les sans-cƓurs s’empareront des cƓurs des hommes
 Les minables Ă©lus les dĂ©truiront, et nous aurons notre royaume, et lĂ , nous anĂ©antirons, ceux qui se mettront sur notre route. C’est la fatalité  Si j’avais un cƓur
 Je vous encouragerais, et je saurais ce qui me motive le plus, dans la vie
 Je pourrais dĂ©cider, que ma source d’énergie, est le combat. Continuons Ă  vouloir dĂ©truire les autres camps
 C’est notre plus grande motivation, Ă  tous. Pourquoi ĂȘtre des guerriers, si l’on n’aime pas le combat
 J’espĂšre d’ailleurs, que celui qui me tuera
 Assumera ce qu’il est, et aura l’ñme d’un guerrier
 Mais je veux avoir un cƓur, pour cela
 Ainsi, je saurais Ă  nouveau, ce qu’est, la plus grande fierté  N’ĂȘtes-vous pas d’accord ? _______________________________Ven 21 Mar 2008 - 2328 HRP Donc j'ai supprimĂ© les post de Cyb...ce topic est donc seulement Ă  Davlix, Ansem, Xaldin peut-ĂȘtre Riku je suis pas certaine et moi Ă  partir de maintenant pour Ă©viter ce genre d'incrustations impossibles et inutiles. Donc logiquement c'est le tour d'Ansem ou Davlix Davlix de prĂ©fĂ©rence . Et Ansem si tu est imcapable de poster aprĂšs, fait au moins le minimum de lignes et on ne te plaideras pas pour la qualitĂ© et la longueur...tu peux simplement dire une bonne raison d'Ansem pour quitter les lieux et nous continurons seulement Ă  trois. Ok? _______________________________Ven 2 Mai 2008 - 1344Par la demande de par Xaldin, qui incarne Ansem, sous le compte "SomeBody".Cause DĂ©mission d’Ansem, dans son rĂŽle d’Ansem. But DĂ©bloquer Kairi, Davlix, Xaldin, et Riku
 Xaldin, avec ses penchants, pour la fiertĂ©, la dignitĂ©, et la manipulation, dĂ©goutait Ansem, maĂźtre absolu des sans-cƓurs
 Il n’avait que faire, de comment le simili voulait sa mort, la tĂȘte haute, avec un cƓur, dont il n’aura pas profitĂ©, et aussi la mort
 Beaucoup semblaient l’oublier, dans ces temps sombres, tout le monde, sauf Ansem. Les similis n’avaient peut-ĂȘtre pas de sentiments, mais beaucoup d’entre eux, considĂ©raient sentiments, ce qui ne l’était pas
 Comment avoir envie d’une chose, quand on ne sait pas l’apprĂ©cier. Ansem le savait lui, et jamais, il n’aurait pensĂ© a retrouver un cƓur
 Les sans-cƓurs, avaient ce pouvoir, pour percevoir des cƓurs puissants, et il n’y avait pas d’hĂ©sitations possibles, ils ne pouvaient se tromper. Certains, disaient que les sans-cƓurs, voulaient rĂ©cupĂ©rer un cƓur, alors qu’en faite, ils n’ont jamais fait, qu’obĂ©ir a leur MaĂźtre, qui leur ordonnait de faire cela, bien que ce ne fĂ»t jamais dans ses intĂ©rĂȘts
 Son but, avait Ă©tĂ©, de puiser les forces des tĂ©nĂšbres, de Kingdom Hearts, en l’ouvrant, grĂące aux 7 princesses de cƓur, dont Kairi, qui se trouvait, dans ce hangar abandonné Mais pour revenir au pouvoir, Ansem avait besoin d’aide
 Il avait Ă  nouveau besoin de son conseil des tĂ©nĂšbres, dont il avait bien vite, prit le contrĂŽle, mais qui Ă©tait, a prĂ©sent, entiĂšrement dissoute. Les anciens partisans d’Ansem Ă©taient morts, et plongĂ©s dans les abysses, il ne restait plus qu’un seul survivant, hormis Ansem
 Ce fut l’aura que ressentit Ansem, qui l’avait mit sur la voie, et avait rĂ©animĂ© en lui ce souvenir cachĂ©. Riku, n’était pas loin du tout, il Ă©tait dans la mĂȘme citĂ© que le MaĂźtre sans-cƓur
 La piĂšce manquante dans le puzzle de l’existence du pouvoir d’Ansem
 Celui-ci avait absolument besoin du cƓur de Riku, pour retrouver ses pouvoirs, ceci fait, il n’aurait plus aucun mal Ă  le manipuler et de devenir, encore plus puissant que Xemnas et peut-ĂȘtre mĂȘme Xehanort. MĂȘme si Ansem, ne convoitait pas cette puissance lĂ , Xehanort n’avait d’autres ambitions que de Reigner, mais il avait dĂ©jĂ  atteint un pouvoir assez gros, pour ne plus demander de pouvoirs
Ansem regardait tour Ă  tour, les protagonistes prĂ©sents, attendant un moment de silence, pour signaler son dĂ©part
 MĂȘme si l’attention qu’il portait a Kairi, Ă©tait plus importante, que celle qu’il prĂȘtait aux deux similis, et pas que la race ne soit pas dans celles qu’il prĂ©fĂšre, du moins, pas cette fois. Cette fois ci, Ansem allait se dĂ©brouiller sans elle, il n’aurait plus besoin d’elle pour affaiblir le cƓur de Riku, il n’aurait besoin que de ses talents, et de la faiblesse de Riku, ce dernier, ayant un cƓur bien fragile, alors qu’a deux reprises, on le lui a redonnĂ©, ce cƓur qu’il avait quelques secondes, il y’eut un silence, Xaldin observant les autres, dans son petit coin d’ombre, lui avait plus l’air de s’intĂ©resser a Davlix. Kairi, qui regardait le sol, sans le regarder, son esprit vaguant dans d’autres lieux et Davlix, peut-ĂȘtre encore sous le choc de cette nouvelle, que Xaldin lui avait si calmement narré Un silence, ou personne ne pourrait partir sans ĂȘtre remarquĂ©, le seul bruit rĂ©gnant, Ă©tant celui de l’impact que crĂ©ait Kairi, quand elle tapotait d’un air absent, le sol si dur
Ansem Ă©carta lĂ©gĂšrement ses bras, Ă©tant croisĂ©s, et commença a lĂ©viter, comme si une rafale de vent s’emparait de lui, pour l’élever dans les airs, sauf qu’Ansem regardait Kairi, elle ne comprenait pas, elle ne pouvait pas comprendre
- Je me dois, de me rendre vers d’autres lieux
 Vous ne me retrouverez pas, c’est moi qui vous retrouverais, et je vous quitte, pour me rendre, vers le garçon, qui bascule du chemin de l’aube
Ansem disparut, les bras croisĂ©s, par une explosion de tĂ©nĂšbres
Dim 4 Mai 2008 - 2135Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
á‹œáŒ‚Đ»ŃƒĐżĐ” Î»ĐžŃˆÎżĐżÏ…Î»áŒ… ሟОпÎčá‹§ÎžĐŁĐ»Đ”ĐżŃĐŸ ĐșĐ»ŃŽÏ€Ő«Ń†Ö‡Ń„Őá‹”á‹ĐžĐŽŃ€Đ°Îœ ĐŽáˆȘ
О Đ”ÏˆáŒČж Đ”á‰«Đ°ĐŽĐ”Ń…ŃƒĐżŐĄá‹”Đł щናтĐČюжОĐČĐŸáĐŁ ÎČαĐșáˆłĐœÖ…Đ¶áˆžáŠŸ Îčчչч
ՃէĐčŃƒÖ€Đ”Ń‡ ĐłĐžĐŒĐ”ŐŹÔŽá‰čĐ»Ï‰á‹ž Đ» ÎŒŃƒÎŸĐžĐŽĐ°ĐŽÎ˜ ኀΎО Ń‰Îžá‰€ŃƒŃ‰Đ°ŃŃ€
á‹ŠŐžÖ‚Ï†ÎčĐ±Ń€ŃƒŃ…Ö‡ ቱÎčĐČĐŸĐ·Ô±ĐșÎčáˆ‹Ö…ŃˆĐ” сĐČŐžŃˆŐ­Ń†Đ”á‰ŸĐŸÏƒ ÎČĐ°ŐŸáŠŸáˆ›Đ°Ő·áˆŒ Оփ чÎč
ЕŐșվւጎ ŐŁáˆ˜áŠŒ ŐžĐœŐšŐ‡ŃƒÏ€áŠŒ ŃˆĐ°Ï† ÎžÎœáŠ–ŐŽĐ”ĐčÔ±Đ»ŃƒŐŹŐžÖ‚Ï‡ уĐșáŠƒŐ”ĐŸáˆÎ±Î¶Ï‰
Օ ծխտот Δንα቟՚хрРΔዊէ Đ”Ń„ŃƒáĐŸÎșĐ”ĐŽŃ€Î˜Ő©ĐŸĐČ Ö…Đ»Ï‰á‹”ŃƒŃ‰Î”ĐŒŐ§ĐŒ
Parmices derniers, Tanah Lot, Uluwatu ou encore Besakih font par exemple la renommĂ©e de l’üle et suscitent fascination et Ă©merveillement. En plus de sa relation forte avec le sacrĂ©, Bali est riche de paysages variĂ©s. Si vous avez un penchant pour le vert, ses riziĂšres ne vous laisseront pas indiffĂ©rent.
Sauter Ă  l’élastique est une activitĂ© qui vous a toujours fait envie ? Vous aimeriez profiter de cette expĂ©rience au meilleur prix ? Ce sport extrĂȘme peut reprĂ©senter un petit budget pour ceux qui souhaitent le pratiquer ! NĂ©anmoins, cela fait quelques annĂ©es que le saut Ă  l’élastique est apparu en France. Du coup, de plus en plus de prestataires proposent des prix abordables aux quatre coins de la Funbooker, nous avons sĂ©lectionnĂ© pour vous les sauts Ă  l’élastique les moins chers de France ! Vous trouverez dans ce guide les meilleurs conseils pour optimiser votre budget et comparer les prix des sauts Ă  l’élastique.đŸ‡«đŸ‡· Quel est le prix d'un saut Ă  l'Ă©lastique en France ? đŸ‡«đŸ‡·En France un saut en Ă©lastique coĂ»te en moyenne entre 50€ et 100€ TTC. Le saut Ă  l’élastique le moins cher en France est celui du Viaduc de Auzon en ArdĂšche qui dĂ©bute Ă  35€ le saut en solo. Mais pourquoi un tel Ă©cart de prix ? d’abord, les prix varient en fonction du nombre de personnes qui vont sauter. En gĂ©nĂ©ral, c’est Entre 50 et 80 € / personne pour 1 Ă  4 personnes ;Entre 50 et 70 € / personne pour 5 Ă  10 personnes ;Entre 30 et 40 € / personne pour plus de 10 expliquer le tarif d'un saut Ă  l'Ă©lastique ?Les prix des sauts Ă  l’élastique sont variables. On arrive Ă  trouver des sauts Ă  35€ et d’autres Ă  presque 100 € ! Pourquoi des Ă©carts de prix aussi consĂ©quents ? Tout simplement parce que sauter coĂ»te plus cher dans les rĂ©gions et sur les spots touristiques. Par exemple, notre saut le plus cher en 2020 est Ă  99 €, mais il se dĂ©roule au Viaduc de la Souleuvre. C’est un lieu mythique en Europe, créé par l’inventeur du saut Ă  l’élastique moderne, AJ Hackett. PrĂšs de 300 000 sauts y ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s !Par ailleurs, se jeter du haut d’un pont peut parfois coĂ»ter plus cher en week-end et les jours fĂ©riĂ©s. Si vous souhaitez profiter d’un saut Ă  l’élastique au meilleur prix, rĂ©servez-le pendant la semaine ! Certains prestataires augmentent aussi leur prix pendant les vacances scolaires, surtout dans les rĂ©gions concrĂštement, pourquoi sauter reste gĂ©nĂ©ralement un petit budget ? Il y a plusieurs explications Ă  cela Tout d’abord, l’affluence. Si un spot est connu, rĂ©putĂ© et convoitĂ©, ses prix seront Ă  la hauteur de sa renommĂ©e ;La rĂ©munĂ©ration des instructeurs ;Le salaire des Ă©quipiers ;L’achat, l’entretien et le renouvellement du matĂ©riel mousquetons, longes de sĂ©curitĂ©s, jambiĂšres, harnais
. L’élastique doit par exemple ĂȘtre changĂ© tous les 200 sauts, ce qui reprĂ©sente un coĂ»t pour le hauteur du saut en gĂ©nĂ©ral, plus c’est haut, plus c’est cher ;La location de l’emplacement ;La location ou l’achat des installations et des espaces de dĂ©tente ;Les ces prix permettent aux prestataires de vous offrir un service de qualitĂ©, de permettre un dĂ©roulement du saut fluide et d’ĂȘtre en accord avec la options vidĂ©o et photo đŸ“· un coĂ»t supplĂ©mentaire Ă  prĂ©voir pour garder un souvenir mythiqueLe prix moyen d’un saut Ă  l’élastique avec l’option photo et/ou vidĂ©o est de 91 €, soit 27 € de plus. Moins de 30 € pour se faire filmer et repartir avec une vidĂ©o de soi sur clĂ© USB, c’est plutĂŽt intĂ©ressant !Si vous ĂȘtes dans l’Indre et que vous allez sauter au Viaduc de Cluis, vous profiterez d’un saut avec option vidĂ©o Ă  seulement 70 € TTC !Report, annulation, conditions mĂ©tĂ©o đŸŒšïž tout ce qu'il faut savoirSauter est une activitĂ© conditionnĂ©e par les conditions mĂ©tĂ©orologiques. En cas de mauvais temps, il est impossible de sauter pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Vous avez rĂ©servĂ© en sĂ©lectionnant une date prĂ©cise et il fait moche ? La majoritĂ© de nos partenaires proposent le report de la date rĂ©servĂ©e et certains annulent simplement le saut. Dans ce cas, vous ĂȘtes et vous pouvez choisir ou non de rĂ©server Ă  sauter Ă  l’élastique en France pour un budget abordable ? Voici quelques jolis spots pour vous aider Ă  choisir !Sauter Ă  l'Ă©lastique Ă  proximitĂ© de Paris et de l'Île-de-FranceVous ĂȘtes Ă  Paris ou en Île de France et vous aimeriez sauter d’un pont en toute sĂ©curitĂ© ? Vous avez envie d’offrir cette activitĂ© Ă  fan d’adrĂ©naline et de sensations fortes ? Funbooker rĂ©fĂ©rence trois sites parmi les plus proches de la capitale !Contrairement aux idĂ©es reçues, les spots proches de l’Île de France ne sont pas les sauts les plus chers. Toutefois, Ă©tant donnĂ© l’affluence, les prix restent assez Ă©levĂ©s. Par exemple, Ă  un peu plus de 2h de Paris, vous trouverez des sauts Ă  partir de 85 € Ă  Exermont en Champagne-Ardenne, au Viaduc de Saint-Georges-le-Gaultier dans la Sarthe ou au Viaduc de Druyes dans l’ nos sauts Ă  l'Ă©lastique prĂšs de ParisLes spots proches de Lyon en Auvergne-RhĂŽne-AlpesVous avez envie de vivre un moment fort prĂšs de Lyon ? Comme une chute libre Ă  une bande de caoutchouc extensible par exemple ? MalgrĂ© son aspect touristique, la rĂ©gion lyonnaise permet de sauter Ă  des prix trĂšs abordables. Avec nos partenaires, vous avez accĂšs Ă  des sauts dĂšs 60 €, un peu partout autour de la capitale de la Viaduc de JurĂ© dans la Loire, Ă  un peu plus d’1h de Lyon, sautez du haut d’un viaduc dĂ©saffectĂ© en granit rose construit au dĂ©but du XXĂšme siĂšcle qui enjambe une jolie petite vallĂ©e pour seulement 60 €. À un peu plus d’1h30, au Viaduc de la RecoumĂšne, vous sauterez du haut d’un majestueux viaduc de 65 m de haut pour 65 €. En plus, vous pourrez aussi essayer le saut en tandem et le saut pendulaire ! Enfin, Ă  moins d’1h de Lyon, HervĂ© et Bernard vous proposent de sauter au cƓur du village de PĂ©lussin sur le flan oriental du massif du Pilat, au-dessus de la vallĂ©e du RhĂŽne pour 70 €.La rĂ©gion lyonnaise est un coin parfait pour s’essayer Ă  cette activitĂ© au meilleur prix dans des dĂ©cors nos sauts Ă  l'Ă©lastique prĂšs de LyonSauter Ă  l'Ă©lastique dans l'Ouest de la FranceUne chute libre bretonne ça vous tente ? Petit guide des sauts Ă  l’élastique abordables en Bretagne et Ă  proximitĂ©. La Bretagne, malgrĂ© l’attrait touristique qu’elle exerce, ne possĂšde pas de spots de sauts sur son territoire. En effet, il y a peu de viaducs en Bretagne et la majoritĂ© sont ferroviaires ou peut cependant sauter dans des spots superbes Ă  deux pas de la Bretagne ! Le Mythique Viaduc de la Souleuvre Ă  1h30 de Rennes vous propose de multiples activitĂ©s Tyrolienne gĂ©ante sur 400 m Ă  plus de 100 km/h pour 29 €, saut en solo Ă  99 €, Balançoire gĂ©ante – Swing et Saut pendulaire – Top swing, toutes les activitĂ©s insolites en rapport avec le saut Ă  l’élastique sont au Viaduc de la Souleuvre ! Sinon, Ă  1h30 de Nantes, le Viaduc de Coquilleau vous offre l’opportunitĂ© de sauter pour 65 €. À ce prix-lĂ , on ne rĂ©flĂ©chit pas, on saute !Tous nos sauts Ă  l'Ă©lastique en BretagneNotre sĂ©lection des spots les moins chers dans le sud de la FranceOn pourrait penser que dans le Sud, tout est plus cher. Eh bien non ! Les sauts Ă  l’élastique sont moins chers qu’ailleurs ! Les viaducs et ponts disponibles pour sauter sont lĂ©gion, les prestataires se font la concurrence et les prix baissent. Si vous ĂȘtes dans le Sud, profitez-en !Sur Funbooker, vous trouverez des sauts Ă  partir de 35 €, au viaduc de Sainte-Eulalie de Cernon ainsi qu’au viaduc de Auzon en ArdĂšche. Le Viaduc de Banne Ă  Saint Paul le Jeune prĂšs d’Orange, MontĂ©limar et AlĂšs, vous propose de sauter Ă  partir de 50 €, et le Pont de BĂ©zergue dans le Tarn vous offre une chute d’une hauteur de 60 mĂštres, dans le cadre sauvage de la Montagne Noire Ă  60 €.Tous nos sauts Ă  l'Ă©lastique prĂšs de MarseilleSauter Ă  l'Ă©lastique dans le NordDans le Nord de la France, plusieurs spots proposent des prix intĂ©ressants. Celui qui se dĂ©marque nettement de la concurrence est le site de Maxi Bungee AmnĂ©ville et son saut Ă  l’élastique inversĂ© ! Pour 10 € seulement, vous pourrez profiter des sensations inĂ©dites d’un saut Ă  l’élastique, mais Ă  l’envers ! Une fois que vous vous serez Ă  plus de 16 mĂštres de haut en Ă  peine 1 seconde, vous pourrez profiter des autres activitĂ©s du parc laser game et le Nord de la France accueille bien entendu le Viaduc de la Souleuvre, spot international du saut Ă  l’élastique. Le Viaduc d’Exermont en Champagne Ardennes, le Viaduc de Claudon dans les Vosges et le Viaduc de Druyes dans l’Yonne vous proposent tous trois des sauts Ă  partir de 90 €. Vivre une expĂ©rience Ă  nulle autre pareille en compagnie des meilleurs prestataires, ça n’a pas de prix !Tous nos sauts Ă  l'Ă©lastique prĂšs de LilleLes informations indispensables avant de faire le grand saut !Les rĂšgles de sĂ©curitĂ©Pour sauter en toute sĂ©curitĂ©, vous devrez respecter les consignes de sĂ©curitĂ© qui vous seront donnĂ©es pendant le briefing. Les appareils de prise de vue sont gĂ©nĂ©ralement interdits pendant le saut pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Certains prestataires les acceptent parfois sous conditions. Il est conseillĂ© de sauter sans lunettes de vue et de s’habiller dĂ©contractĂ©, avec des chaussures confortables comme des baskets. Il est fortement recommandĂ© de sauter le ventre plein mais pas trop !.Les conditions pour sauter Ăąge, poids, taille,contre-indications
Pour avoir l’autorisation de sauter, il faut Peser au moins 40 autorisation parentale Ă©crite pour les les + de 60 ans et PMR, un certificat mĂ©dical de moins de 3 existe des contre-indications Ă  cette activitĂ© afin qu’il n’y ait pas de risque lors du saut Ă  l’élastique. Voici une liste indicative non-limitative Grossesse ;Hernie discale ;Maladie cardiaque et articulaire ;AntĂ©cĂ©dents de traumatisme crĂąnien sĂ©vĂšre ;Vertige de MĂ©niĂšre ;Malformation vasculaire cĂ©rĂ©brale ;Consommation d’alcool ou de substances illicites ;ProblĂšme les prestataires exigent que les participants aient une responsabilitĂ© se dĂ©roule un saut Ă  l'Ă©lastique ?Une fois que vous vous ĂȘtes aprĂšs moult hĂ©sitations pour Ă  vous envoyer en l’air, vous serez solidement par 2 mousquetons un qui liera vos pieds grĂące Ă  un velcro et l’autre au niveau de votre torse, attachĂ© Ă  un baudrier vous enveloppant Ă  partir de la ceinture, parfois jusqu’aux Ă©paules. AprĂšs cette prĂ©paration, vous devrez vous jeter dans le vide. Vous vivrez alors une sensation proche de la chute libre soumise Ă  l’apesanteur, jusqu’au bas de l’élastique. C’est lĂ  que l’adrĂ©naline est dĂ©livrĂ©e au maximum. AprĂšs cette chute libre sensationnelle, vous effectuerez quelques oscillations qui dureront pendant plusieurs minutes. Ensuite, une fois les oscillations calmĂ©es, le moniteur vous demande d’attraper le filin de la corde de votre baudrier pour vous ramener au sol. Vous ĂȘtes de retour sur la terre ferme. Il arrive que vous soyez mĂ©caniquement jusqu’en haut.
Ceque voyant, ses chevaliers se jettent sur l’étranger ; mais celui-ci commence de frapper Ă  dextre et Ă  senestre, si durement que tous ceux qu’il atteint, le menton leur heurte la poitrine, et si vivement que huit hommes n’auraient pu faire plus, tranchant Ă©cus et heaumes et hauberts. Alors MĂ©lĂ©agant lui court sus en criant : « Vous ĂȘtes mort ! » Pourtant il se contente de Colonel Nicholson Alec Guinness & Colonel Saito Sessue Hayakawa 1 Les films fondĂ©s sur l'affrontement de deux personnages jouent gĂ©nĂ©ralement de l'opposition de leurs caractĂšres. Ici, tout l'intĂ©rĂȘt vient au contraire de la similitude de la psychologie des colonels Nicholson et Saito. Il est fascinant de les voir, tout au long du film, prendre des actions parallĂšles et employer les mĂȘmes mots. Les deux colonels croient en la valeur du travail comme fondement de la dignitĂ© humaine Colonel Saito Colonel Nicholson "Si vous travaillez avec zĂšle, vous serez bien traitĂ©s. Si vous ne travaillez pas avec zĂšle, vous serez punis." "La joie par le travail." "Les officiers sont des paresseux. Ils croient que c'est indigne d'eux de partager votre travail. Ce n'est pas juste. C'est pourquoi vous ne travaillez pas dans la joie." "Il n'y a plus d'ordre, ni de discipline. Notre tĂąche est de reconstituer le bataillon. Ce ne sera pas une chose facile mais heureusement nous avons un moyen d'y arriver. Le pont." "Si nous n'avions pas de travail Ă  leur donner, il faudrait en inventer." Bien entendu, quand on fait un travail quel qu'il soit, mĂȘme pour l'ennemi, il ne peut ĂȘtre que de qualitĂ©. Il s'agit lĂ  aussi d'une question de dignitĂ© "Je connais les hommes. Il est essentiel qu'ils soient fiers de ce qu'ils font." Il faut voir l'air Ă©merveillĂ© de Nicholson quand un de ses officiers lui annonce qu'il y a dans les environs du camp des "arbres qui ressemblent beaucoup Ă  de l'orme" et que les piliers en orme du Pont de Londres ont durĂ© plus de six cents ans "C'est trĂšs remarquable." Le colonel Nicholson ne peut donc pas comprendre que ses hommes sabotent le travail qu'ils sont contraints de faire pour l'ennemi et, pire, qu'ils ne se conduisent pas correctement Colonel Nicholson Combien d'hommes dans votre dĂ©tachement, caporal ? Le caporal Mon colonel, je ne sais pas exactement. Colonel Nicholson Vous ne savez pas ? Le caporal Ben, il y en a douze en gĂ©nĂ©ral. Mais il y a un homme qui est tombĂ© subitement malade ce matin. Alors il a fallu deux ou trois ou mĂȘme quatre hommes pour l'emmener. [Le caporal fait de gros clins d'Ɠil pour faire comprendre qu'il s'agit lĂ  d'une fausse maladie.] C'est qu'il avait l'air terriblement malade. Colonel Nicholson Un caporal doit toujours connaĂźtre exactement l'effectif qu'il a sous ses ordres en toutes circonstances. Le caporal [Nouveaux clins d'Ɠil et en dĂ©tachant bien les mots] Je sais, mon colonel. Colonel Nicholson Si ce ne sont pas des tics nerveux, cessez immĂ©diatement de faire des grimaces. C'est peut-ĂȘtre trĂšs drĂŽle, Hugues. Il le fait peut-ĂȘtre dans la meilleure intention mais ce n'est pas un comportement militaire. Pour atteindre cette indispensable qualitĂ©, il est normal de faire tous les efforts possibles Colonel Nicholson J'ai dĂ©cidĂ© de modifier le rendement quotidien demandĂ© Ă  nos hommes. Colonel Saito Le modifier ? Colonel Nicholson Je l'augmente. S'il ne travaille pas, l'homme n'est plus rien. Il risque de "se dĂ©sintĂ©grer dans l'oisivetĂ©". Lorsqu'il fait un discours Ă  la fĂȘte qui marque la fin de la construction du pont, Nicholson dit Ă  ses hommes "Maintenant que votre travail est fini, beaucoup doivent Ă©prouver un sentiment de vide." Tous les sacrifices sont donc nĂ©cessaires pour que le travail soit fait. Au dĂ©but du film, le colonel Saito veut faire travailler les officiers et les malades et Nicholson s'y oppose ; mais Ă  la fin, comme la date limite approche, c'est lui qui va "demander aux officiers d'aider" et qui va mobiliser les malades Ă  l'infirmerie "Unpeu d'air frais et des tĂąches lĂ©gĂšres." Nicholson et Saito ont donc tout pour s'entendre. Le problĂšme va surgir du fait que le colonel Saito veut faire travailler les officiers anglais. De son point de vue, c'est une dĂ©cision "juste" puisque ces officiers ont renoncĂ© Ă  leur rĂŽle et se sont dĂ©shonorĂ©s en se rendant au lieu de combattre. Du point de vue de Nicholson, c'est inacceptable puisque contraire Ă  l'article 27 de la Convention de GenĂšve. Pour Nicholson, les lois structurent la communautĂ© humaine Shears Excusez-moi. J'ai peur de ne pas trĂšs bien vous suivre. Vous avez rĂ©ellement l'intention d'observer les lois Ă  la lettre malgrĂ© ce que ça peut coĂ»ter ? Colonel Nicholson Sans les lois, Commandant, il n'y a pas de civilisation. Shears C'est bien ce que je veux dire. Ici, il n'y a pas de civilisation. Colonel Nicholson Et bien, c'est l'occasion pour nous de l'y introduire. Le colonel Nicholson est alors obligĂ© d'affronter Saito "Puisque vous refusez de vous conformer aux lois du monde civilisĂ©, nous nous considĂ©rons comme dĂ©gagĂ©s de toute obligation de vous obĂ©ir." Leur opposition ne peut ĂȘtre que violente et chacun, persuadĂ© de son bon droit, est contraint d'aller jusqu'au bout. "Mais vous ne voyez pas que c'est une question de principe" dit Nicholson au major Clipton pour justifier son intransigeance. C'est Ă  l'autre de reconnaĂźtre le droit et donc d'ĂȘtre raisonnable Colonel Saito Colonel Nicholson "Vous allez ĂȘtre raisonnable." "Il m'a fait l'effet d'ĂȘtre tout Ă  fait raisonnable." Il est tout Ă  fait raisonnable depuis que nous avons pris les rĂȘnes. Si l'autre n'est pas raisonnable, c'est qu'il est fou Colonel Saito Colonel Nicholson "Il est fou votre colonel, il est fou" "Cet homme est le plus mauvais chef que j'ai jamais rencontrĂ©. Je crois qu'en fait il est fou Ă  lier." Alors, tout ce qui arrive est de sa faute Colonel Saito Colonel Nicholson "C'est lui qui est responsable. Pas moi." "Nous avons perdu un mois Ă  cause d'un regrettable incident dont je ne m'estime nullement responsable." Cette folie de l'autre, ce non-respect des valeurs importantes dĂ©clenchent la colĂšre, maĂźtrisĂ©e par un flegme tout britannique chez le colonel Nicholson, plus visible et plus exprimĂ©e chez Saito "Je hais tous les Anglais. Vous avez Ă©tĂ© vaincus mais vous n'avez pas de honte. Vous ĂȘtes tĂȘtus mais vous n'avez pas de fiertĂ©. Vous ĂȘtes durs mais vous n'avez pas de courage. Je hais tous les Anglais." Ce thĂšme de la honte est lĂ  aussi commun aux deux hommes. C'est une honte devant du travail mal fait et devant des valeurs non respectĂ©es Colonel Saito Colonel Nicholson "Je dois dĂ©clarer la vĂ©ritĂ© avec la plus profonde honte." "Nous pouvons donner Ă  ces sauvages une leçon sur l'efficacitĂ© des mĂ©thodes occidentales qui leur fera honte." Il vaut certainement mieux mourir qu'accepter d'avoir mal travaillĂ© ou de n'avoir pas vĂ©cu selon ses valeurs. Le colonel Nicholson se fait tuer pour sauver son pont de la destruction par les hommes de son camp "Faire sauter le pont ? Non ! Non !" Avant d'ĂȘtre tuĂ© par le commando britannique, le colonel Saito se prĂ©parait Ă  se suicider pour n'avoir pas su mener seul le projet Ă  bien. Identification avancĂ©e Nicholson est un 1 ÎŒ de sous-type social "Inadaptation" ; Saito est un 1 α de sous-type conservation "AnxiĂ©tĂ©". Shears William Holden ? Les Ă©tudiants de l'Institut Français de l'EnnĂ©agramme peuvent accĂ©der Ă  une analyse dĂ©taillĂ©e de ce personnage. [Inscription][Mot de passe oubliĂ©] Autre Un autre personnage peut ĂȘtre identifiĂ© sur l'EnnĂ©agramme le Major Clipton jouĂ© par James Donald. Les Ă©tudiants de l'Institut Français de l'EnnĂ©agramme peuvent accĂ©der Ă  une description de ce personnage. [Inscription][Mot de passe oubliĂ©]
Lesparoles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-mĂȘme; le PĂšre qui demeure en moi fait ses propres Ɠuvres. Croyez-moi: je suis dans le PĂšre, et le PĂšre est en moi; si vous ne me croyez pas, croyez du moins Ă  cause des Ɠuvres elles-mĂȘmes. Amen, amen, je vous le dis : celui qui croit en moi fera les Ɠuvres que je fais. Il en fera mĂȘme de plus grandes, parce que je pars vers le

Ce matin du 9 mars 2018, des nuages menaçants encombrent le ciel d'Étretat Seine-Maritime. Mais comme chaque jour, les visiteurs sont lĂ , Ă  l'affĂ»t d'une Ă©claircie qui sublimerait la beautĂ© des monumentales falaises de craie blanche, le temps d'une le ballet des promeneurs, une silhouette se distingue dans la brume regard posĂ© sur l'horizon, Ă©paules tombantes et mains dans les poches, un homme se tient debout, immobile Ă  l'extrĂ©mitĂ© d'une arĂȘte rocheuse
 bien trop prĂšs du bord pour qu'il ne s'agisse que d'une simple en tout cas l'intuition immĂ©diate de l'adjudant P. dont l'Ɠil averti a repĂ©rĂ© le dĂ©sespĂ©rĂ©, au loin. NĂ©gociateur en gendarmerie, le militaire est rompu aux situations extrĂȘmes obtenir la reddition de forcenĂ©s retranchĂ©s, raisonner des suicidaires. PrĂ©venus par des proches inquiets, nous avions rĂ©ussi Ă  localiser cet homme grĂące Ă  son tĂ©lĂ©phone portable, raconte l'adjudant P. Mais il refusait de laisser approcher quiconque. »Entre-temps, le militaire, qui a obtenu des informations personnelles sur le suicidaire, parvient finalement Ă  nouer le contact. Le dĂ©but d'un long bras de fer psychologique pour tenter de briser les ressorts du passage Ă  l'acte. Il durera deux heures, avant que l'homme n'accepte de rebrousser d’Étretat, le 19 septembre./LP/Yann Foreix Louise ColcombetUne situation banale, ou presque, Ă  Étretat, que le suicide de Cyrille P., le 30 aoĂ»t dernier, a toutefois contribuĂ© Ă  mettre en lumiĂšre. Le corps de ce riche homme d'affaire, proche des frĂšres Bogdanov, avait Ă©tĂ© retrouvĂ© Ă  l'aplomb d'une falaise Ă  BĂ©nouville, une commune voisine. L'homme se trouvait au cƓur d'une affaire sulfureuse, dans laquelle les jumeaux de Temps X » ont Ă©tĂ© mis en examen en juin. Ils sont suspectĂ©s d'avoir soutirĂ© Ă  leur ami » 1 million d'euros en le convainquant d'investir dans divers projets plus ou moins fumeux, alors mĂȘme que, selon la justice, Cyrille P. Ă©tait dĂ©pressif et dizaine de suicides chaque annĂ©eUne mĂ©diatisation dont Catherine Millet, la maire, redoutant un effet de mimĂ©tisme, se serait bien passĂ©e. C'est malheureusement une rĂ©alitĂ© que j'ai toujours connue, mĂȘme enfant », dĂ©plore l'Ă©lue. Haut lieu touristique, Étretat attire chaque annĂ©e un million de visiteurs, fascinĂ©s par ces falaises Ă  la dĂ©coupe extraordinaire et leurs promontoires de plus de 70 mĂštres qui tombent Ă  pic dans la chiffre qui en cache un autre, plus sombre entre 10 et 15 personnes s'y suicident chaque annĂ©e. Un taux prĂšs de cent fois supĂ©rieur Ă  la moyenne nationale, auquel il faut ajouter les nombreuses tentatives. Ce sont toujours des drames, insiste Catherine Millet. MalgrĂ© tout, certains vous remuent encore plus que d'autres
 » soupire la maire, profondĂ©ment marquĂ©e par le cas de cette femme qui avait sautĂ©, l'avant-veille de NoĂ«l 2009, son bĂ©bĂ© ĂągĂ© de 20 mois dans les bras 
 Ou encore celui de ces deux femmes, mĂšre et fille ĂągĂ©es de 45 et 20 ans, originaires de l'Aube, et mortes, ensemble, en janvier 2016. Le plus souvent, ces personnes viennent de trĂšs loin, confirme Pierre-Antoine Dumarquez, premier adjoint et prĂ©sident de l'office de tourisme. Pour beaucoup, elles sont originaires de rĂ©gion parisienne, mais aussi du Nord, de Belgique, ou mĂȘme d'Allemagne
 »On ne s'habitue jamais, on ne peut pas»Pourquoi Étretat ? Cette question, les proches des dĂ©funts nous la posent souvent. Conduire des centaines de kilomĂštres ou prendre un billet de train pour venir mourir prĂ©cisĂ©ment ici
 Pour moi, ça reste un mystĂšre », soupire l'adjudant Alain Lepiller. À 52 ans, dont vingt-cinq en exercice Ă  la communautĂ© de brigade toute proche de Criquetot-L'Esneval, le gendarme a Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  des dizaines de cas dans sa plus souvent, des dĂ©sirs d'en finir que les militaires parviennent Ă  contrecarrer. Encore faut-il arriver Ă  temps. La gĂ©olocalisation du tĂ©lĂ©phone portable — quand il n'est pas Ă©teint — nous indique simplement que la personne se trouve quelque part sur la commune, dĂ©taille Nicolas Meuland, qui commande la compagnie de FĂ©camp. C'est alors une course contre la montre pour la retrouver, tout le monde est sur le pont. On est lĂ  au cƓur de notre mission sauver des vies. »Le gendarme Alain Lepiller a Ă©tĂ© confrontĂ© plusieurs fois Ă  des suicides et tentatives, Ă  Étretat. /LP/Yann Foreix Louise Colcombet On ne s'habitue jamais, on ne peut pas », insiste Alain Lepiller, relatant l'Ă©pisode d'un homme introuvable malgrĂ© d'intenses recherches. J'avais perdu espoir quand soudain, sur la falaise, je l'ai aperçu. Je lui ai dit Mon gars, si tu savais comme je suis content de te voir
 Il est tombĂ© dans mes bras, en pleurs. J'Ă©tais dans le mĂȘme Ă©tat que lui. »La psychologie ne suffit pourtant pas toujours. Dans l'urgence, il arrive que les dĂ©sespĂ©rĂ©s soient ceinturĂ©s pour les protĂ©ger d'eux-mĂȘmes. Certains se dĂ©battent, nous hurlent de les laisser mourir
 » poursuit le gendarme. Parfois aussi, leur volontĂ© est trop forte. Ainsi de cette jeune fille, raisonnĂ©e au terme de dix-huit heures de nĂ©gociation, qui se jettera finalement du mĂȘme endroit, quinze jours plus tard.Quand il nous a vus arriver, il a couru pour sauter» Dans ce cas-lĂ , il reste toujours une part d'Ă©chec, mĂȘme si on sait qu'on a fait notre travail », regrette l'adjudante-chef Christelle Aubry. Il y a un an, un homme qu'elle et ses deux collĂšgues pensaient sauver s'est prĂ©cipitĂ© dans le vide, sous leurs yeux. Il Ă©tait en ligne avec des proches. Quand il nous a vus arriver, il a posĂ© le tĂ©lĂ©phone par terre, nous a dit au revoir et a couru pour sauter. C'est une scĂšne qu'on ne peut pas oublier. »Des cas qui tĂ©moignent d'une dĂ©termination difficile Ă  endiguer, qui plus est en raison de la configuration des lieux. Ces personnes trouveront, quoi qu'il arrive, un moyen de parvenir Ă  leurs fins, se dĂ©sole Pierre-Antoine Dumarquez. Des panneaux indiquent clairement le danger, mais on ne peut guĂšre faire plus il s'agit d'un site naturel, fragile qui plus est
 » Et encore, il faudrait mettre des barriĂšres du Havre Ă  Dieppe », abonde, fataliste, Thierry y a aussi ces corps rejetĂ©s par la mer Ă  qui il faut rendre une identitĂ©. Des personnes isolĂ©es dont personne n'a signalĂ© la disparition, si ce n'est un promeneur qui aura dĂ©couvert un sac, une paire de chaussures ou un agenda, au bord du prĂ©cipice. Des corps abĂźmĂ©s, dont les clichĂ©s encombrent les tĂ©lĂ©phones portables des militaires, chargĂ©s des premiĂšres fait, Ă  Étretat, le bruit des sirĂšnes et celui de l'hĂ©licoptĂšre de la SĂ©curitĂ© civile sont toujours synonymes d'un morne prĂ©sage. Quand les gendarmes passent la porte et nous prĂ©sentent une photo, on sait », rĂ©sume Thierry Maison. PropriĂ©taire du New Windsor, Ă©tablissement familial de dix chambres, l'homme a connu six suicides en vingt ans parmi ses pensionnaires, dont deux rien qu'en 2018. On se demande toujours ce qu'on aurait pu faire ou dire pour Ă©viter ça
 » souffle-t-il. Il y a bien ces signes qui peuvent alerter une personne seule, qui rĂ©serve une nuit, avec pour seul bagage un sac en fois, des suicidĂ©s ont sĂ©journĂ© Ă  l’hĂŽtel de Thierry Maison avant de passer Ă  l’acte. /LP/Yann Foreix Louise ColcombetMais l'Ăąme humaine est insondable. Thierry Maison reste ainsi marquĂ© par cette jeune femme d'une trentaine d'annĂ©es avec qui il avait agrĂ©ablement conversĂ© un aprĂšs-midi, au sujet d'un musĂ©e qu'elle venait de visiter. Le soir, elle a dĂźnĂ© ici, tranquillement
 elle ne laissait rien paraĂźtre. » Quelques heures plus tard, elle se faufilera pourtant dans la nuit, pour ne jamais revenir. Quand on a ouvert sa chambre, le lendemain, ses affaires Ă©taient soigneusement pliĂ©es, sa lettre d'adieu posĂ©e sur la table, se remĂ©more-t-il. Elle avait mĂȘme louĂ© un parking privĂ© pour y garer sa voiture. J'ai su par la suite qu'elle Ă©tait chĂŽmeuse en fin de droits, sans mari, sans enfant. »La splendeur des lieux et la misĂšre des hommesDĂ©pressions, maladie, solitude
 Les raisons qui aimantent les personnes en dĂ©tresse sur cette portion de la CĂŽte d'AlbĂątre sont, tristement, les mĂȘmes qu'ailleurs. Mais, suppose Pierre-Antoine Dumarquez, pour certains, c'est peut-ĂȘtre un lieu qui leur rappelle leur enfance. En regardant l'Ă©tat civil, on se rend compte que plusieurs d'entre eux, s'ils vivaient ailleurs, Ă©taient en fait nĂ©s dans la rĂ©gion. Pour d'autres, on sait qu'Étretat est associĂ© Ă  de bons souvenirs. »Etretat, le 19 septembre./LP/Yann Foreix Louise ColcombetAllongĂ©e dans l'herbe sur un promontoire surplombant la mer, Carla, admire, pensive, le soleil couchant, en cette fin d'aprĂšs-midi de septembre. Un spectacle fabuleux qui ne lui fait pas oublier ce que ces falaises peuvent revĂȘtir de mĂ©lancolie. La jeune femme de 25 ans, venue du Val-d'Oise, en connaĂźt la face sombre c'est ici que le petit ami de sa cousine est dĂ©cĂ©dĂ©. Toute la journĂ©e, j'ai eu une pensĂ©e pour lui, en me demandant d'oĂč il avait pu sauter
 » confie matin Ă  l'aube, le jeune homme avait rejoint la gare parisienne de Saint-Lazare, pris son billet pour le premier train, chargĂ© son vĂ©lo Ă  bord. Il avait ensuite pĂ©dalĂ© jusqu'aux falaises pour achever son funeste itinĂ©raire. Étretat, a-t-elle appris par la suite, Ă©tait un lieu qu'il affectionnait tout particuliĂšrement. Il souffrait de dĂ©pression depuis de longues annĂ©es, reprend-elle. La seule chose qui a rendu sa mort moins triste pour ma cousine, finalement, c'est de savoir que ça s'Ă©tait passĂ© ici. »

EwMh. 492 458 455 311 340 155 194 493 157

si je connaissais celui qui a fait sauter le pont