Selon Camille ROLLANDO, [Livre SĂ©nĂ© d'Hier et d'Aujourdh'ui], il existait un manoir Ă Balgan, propriĂ©tĂ© de la famille JĂ©gou de SĂ©nĂ©, puis du vicomte Olivier II de Rohan en 1316. Le 22 dĂ©cembre 1316 "Guillaume, fils de JĂ©gou de SĂ©nĂ©, donne au vicomte Olivier II de Rohan son manoir de Balgan avec toutes les terres et appartenances, et tout le bois d'environ et d'aprĂšs le dit manoir, en la paroisse de SĂ©nĂ©, en Ă©change de terres Ă Quenet Ysac et aux environs". Quenet Ysac = Cantizac. En 1427, Balgan appartient au Sieur de Gavre qui y demeure et a pour mĂ©tayer Jehan DERIAN. L'Ă©difice a aujourd'hui totalement disparu. Rolland ajoute dans son livre Ă propos de Kerbiscon Les Ă©tats de noblesse nous indiquent que "la seigneurie, le manoir, la mĂ©tairie noble de Kerbescont ou Kerembescont, par Pierre, fils de Perrot Bourdin 1464, Geoffroy de la TertrĂ©e et Françoise Gibon, fille de Pierre Gibon 1536, Jean de la TertrĂ©e, leur fils 1539, les enfants de Pierre de Kerberruet 1603, Jacques Sorel, Ă©cuyer 1638, Fr. de CouĂ©, chevalier, seigneur du Brossay 1700." Lors du relevĂ© de Cassini, le lieu-dit de Kerbiscon est figurĂ© tout comme Bezidel, Cano, Saint-Laurent, Limur, Quenepitur ou Keravelo. La toponymie sinagote est dĂ©jĂ en place. Lors du relevĂ© effectuĂ© par le cartographe entre 1771-1785, le hameau de Balgan apparait Ă cĂŽtĂ© de celui de Kerbiscon. Les villages de Balgan et de Kerbiscon nous nous sont dĂ©crits au cadastre de 1810. Balgan compte alors 5 constuctions. Sur la parcelle 175, une construction qui sera remodelĂ©e en longĂšre nous est dĂ©crite dans l'Inventaire du Patrimoine de Bretagne. Le premier dĂ©nombrement Ă SĂ©nĂ©, en 1841 Il nous indique la prĂ©sence de quatre familles au lieu dit-dit Balgan et d'une famille Ă Kerbiscon, ferme situĂ©e au bout du chemin de Balgan, qu'on ne confondra pas avec la caserne de Kerbiscond, situĂ©e au plus prĂšs de la saline Ă©ponyme et oĂč rĂ©sident les familles de douaniers; Jean LEBREC est tisserand Ă Balgan avec sa femme et ces deux enfants. Un couple de journaliers, Bertin x Lebrun travaille sans doute auprĂšs des deux laboureurs de Balgan, la famille GUILLANTON et JOUAN. Les paludiers Ă Kerbiscon Balgan laisseront la place Ă des cultivateurs Le dĂ©nombrement de 1841, nous indique qu'Ă la ferme de Kerbiscon vivait une famille de paludiers. Pierre CADRO, petit-fils d'un paludier de Batz sur mer venu Ă la fin du XVIII siĂšcle, mariĂ© avec Jacquette RICHARD, fille de paludier de Batz. Les dates de dĂ©cĂšs de RĂ©nĂ© Richard et son Ă©pouse Jeanne Calo, nous indique que la famille Richard s'est Ă©tablie Ă Kerbiscon au tournant du siĂšcle rĂ©volutionnaire. Les Cadro sont encore prĂ©sents Ă Kerbiscon lors des dĂ©nombrements de 1886 et 1891. Presque 50 ans plus tard, Guillaume CADRO [18/12/1828 - >1900] est paludier aux cĂŽtĂ©s de son Ă©pouse Isabelle LEROUX [11/3/1836-20/10/1900]. Il sera le dernier paludier installĂ© Ă Kerbiscon. La saliniculture rapporte moins. Son fils Patern CADERO de la classe 1895 sera mobilisĂ© pendant la guerre. Il dĂ©clare alors la profession de domestique. AprĂšs l'armistice, il s'engagera dans la gendarmerie. Au dĂ©nombrement de 1886, la famille GUYODO-Penpenic est Ă©galement installĂ©e Ă Kerbiscon. Jean Pierre GUYODO [2/1/1852 Monterblanc - 27/6/1903 Kerbiscon] et son Ă©pouse Marguerite PENPENIC [23/8/1862 St-AvĂ© - 1928] sont cultivateurs avec leur fille ĂągĂ©e de 1 an. Marguerite PENPENIC est issue d'une famille de cultivateurs installĂ©ee Ă La PoussiniĂšre Ă SĂ©nĂ©. La ferme emploie 4 gagistes et une bergĂšre. En 1891, la famille compte deux enfants et emploie 4 domestiques. Leurs 5 enfants naitront Ă Kerbiscon comme nous le prĂ©cise les sites de genealogie. Le lieu du dĂ©cĂšs de son Ă©pouse Marguerite nous indique que les Guyodo seront cultivateurs Ă Kerbiscon jusqu'aux annĂ©es 1930, ce que confirme les dĂ©nombrements de 1921 et 1926. La famille cultivera Ă©galement des teres Ă BĂ©zidel. Le dĂ©nombrement de 1926 nous indique que Jean Marie GUYODO [27/8/1885 - 3/10/1951] a pris la tĂȘte de la ferme avec son frĂšre AndrĂ© et sa soeur Marie PhilomĂšne. La famille accueille leur mĂšre Marguerite qui dĂ©cĂšde en 1928..Au dĂ©nombrement de 1931 on retrouve Jean Marie et marie PhilomĂšne GUYODO installĂ©s Ă la ferme de La PoussiniĂšre. La ferme de Kerbiscon change de main comme nous l'indeique cette annonce notariale. Au dĂ©but des annĂ©es 30, la ferme de Kerbiscond passe Ă la famille de Jean Marie RIGUIDEL [30/11/1886-22/10/1959] d'Arradon qui a Ă©pousĂ© Anne Marie Mathurine LE PELVE. Cette pĂ©riode concorde avec les dates de naissance de ses 3 filles qui naissent Ă Vannes en 1924, et Ă Theix en 1926 et 1928. Sa fille, Anne RIGUIDEL reprendra l'exploitation agricole avec son mari Jean QUESTEL. AprĂšs le dĂ©cĂšs de Jean Marie RIGUIDEL, Cependant, cette annonce de 1933 nous indique que l'activitĂ© agricole cesse Ă Kerbiscon Ă cette pĂ©riode. Albert LE PELVE [38/4/1919-26/2/2003}, neveu par alliance rachĂšte le corps de ferme. La ferme de Kerbiscon, au bout du chemin de Balgan reste encore aujourd'hui propriĂ©tĂ© familiale. Les Guillanton-Montfort, laboureurs Ă Balgan .La consultation des dĂ©nombrements successifs Ă SĂ©nĂ© permet de retracer les familles qui vĂ©curent Ă Balgan. La famille GUILLANTON est prĂ©sente Ă Balgan en 1841. L'aieul Guillaume LE GUILLANTON originaire du village de Meudon en Saint-Nolff, dĂ©cĂšdera Ă Balgan, SĂ©nĂ© en 1848. Son fils, Patern GUILLANTON, vit en 1841 avec ces 4 enfants et un domestique. En 1901, le petit-fils, François LE GUILLANTON et son Ă©pouse Françoise LE DRESSAY vivent avec leurs 6 enfants et la ferme emploie un berger, un domestique et une bergĂšre. . En 1906, la famille compte dĂ©sormais 8 enfants et n'emploie plus qu'un domestique. AprĂšs la 1Ăšre Guerre Mondiale, qui a vu la mort de son premier mari, Louis MONTFORT,dans les tranchĂ©es de l'Oise, sa veuve Marie Louise LE GUILLANTON, Ă©pouse son beau-frĂšre, Jean Marie MONTFORT. Leur plus jeune garçon, Louis Albert MONTFORT reprendra le fermage de Balgan. La famille est encore pointĂ©e lors du recensement de 1962. A la retraite de M. Monfort, vers 19xx, Les soeurs PERRIN de Belgamme, installĂ©es au chĂąteau de Coet Ihuel en Sarzeau, dont une, Simone, s'est mariĂ©e Ă Marseille avec Louis MASSIET du Biest, issu d'une famille de militaires d'Hazebrouck, , propriĂ©taires des terres Ă Balgan, dĂ©cident de vendre. La famille LE ROUX de Limur rachĂšte alors la propriĂ©tĂ©. La batisse reste inoccupĂ©e pendant plusieurs annĂ©es. Le bĂątiment Ă©tait dans un Ă©tat d'abandon et nous devons au propriĂ©taire actuel, sa restauration. Les Jouan-Caudal, fermiers Ă Balgan En face la ferme Guillanton-Montfort, existe dĂšs 1810 un autre corps de ferme Ă Balgan. En 1841, la famille JOUAN est pointĂ©e lors du dĂ©nombrement. La famille JOUAN est originaire de St-Nolff et St-AvĂ©. En 1841, les deux frĂšres Guillaume et Jean JOUAN sont Ă Balgan. En 1886, Jacques JOUAN et son Ă©pouse Marguerite LE CALONNEC sont cultivateurs Ă Balgan. On retrouve le couple ĂągĂ© au dĂ©nombrement de enfants, Marie FĂ©lix, Marie Vincente et Jean Marie naissent Ă Balgan. En 1906, c'est leur fils Jacques JOUAN [1828-1908], devenu veuf qui est cultivateur, aidĂ© de ses deux derniĂšres filles et de son frĂšre Phillipe JOUAN. AprĂšs le dĂ©cĂšs de Jacques JOUAN, la ferme passe Ă la famille CAUDAL, avec Ă sa tĂȘte Mathurin CAUDAL.[vĂ©rifier si fermiers ou propriĂ©taire] La famille est originaire de Grand-Champ dĂ©nombrement de 1911 et 1921. Le corps d'habitation a dĂ» ĂȘtre remodelĂ©. La date de 1910 figure Ă la lucarne principale. La famille est endeuillĂ©e pendant la PremiĂšre Guerre Mondiale. François Marie CAUDAL est tuĂ© Ă l'ennemi Ă Callone dans les tranchĂ©es de la Meuse en avril 1915. En 1926, son frĂšre Joachim CAUDAL est toujours pointĂ©e Ă Balgan. avec son Ă©pouse Julienne ROUXEL. Le couple de cultivateurs est aidĂ©e par les beaux-parents. Leur fils, Ange Jean CAUDAL sera Ă leur suite cultivateur Ă Balgan. Il se marie en 1953, avec Reine BIHOES, dont les parents tenaient un cafĂ© Ă Saint-LĂ©onard. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, il fera construire la maison nĂ©o-bretonne en amont du chemin de Balgan. De nos jours De nos jours, le village de Balgan compte un agriculteur-fleuriste, les Jardins de Balgan; installĂ© depuis 1984, la nĂ©o-bretonne de Caudal; l'ancienne ferme des Caudal mise en vente par les hĂ©ritiers et la longĂšre des Guillanton-Monfort toute restaurĂ©e. Au bout du chemin, l'ancienne caserne des douaniers reconfigurĂ©e en maison d'habitation.
ChĂąteaudu Parc: 4.4 km: Rance: 5.3 km: ChĂąteau de la Touche Ă Trebry: 8.1 km: Ăglise Saint-Pierre de TrĂ©daniel: 11.3 km: Croix du cimetiĂšre de Plestan: 11.7 km: ChĂąteaux de LimoĂ«lan Ă SĂ©vignac: 11.9 km: Town hall of KerjĂ©gu: 12.3 km: Site mĂ©galithique de la Lande du Gras: 15.2 km: Manoir du Vieux Bourg Ă Merdrignac: 15.6 kmLa Motte-Basse fut Ă l'origine une motte fĂ©odale qui surveillait le cours de l'Arguenon. Elle Ă©tait composĂ©e d'une grande maison de pierre et de terre, avec deux tours, le tout entourĂ© d'eau. Au 18e siĂšcle, les murs de la petite forteresse furent maintenus, mais habillĂ©s sur la façade par un revĂȘtement de pierres de taille. En 1748, le chĂąteau fut agrandi d'un pavillon. Furent Ă©galement construits un bĂątiment comprenant un corps de logis et deux pavillons aux toits pyramidaux, destinĂ© Ă l'habitation du chapelain. Les espaces intĂ©rieurs conservent de nombreux Ă©lĂ©ments de leur amĂ©nagement du 18e siĂšcle. Au 20e siĂšcle, le chĂąteau reçut un pavillon en forme de tour carrĂ©e, surmontĂ© d'une coupole et d'un lanternon. Il possĂšde en partie son cordon seigneurial, son corps de logis surmontĂ© d'un toit incurvĂ© avec deux Ă©tages de lucarnes et oeil de boeuf. Dans la cour d'honneur est encore visible l'ancien bĂątiment de la boulangerie avec ses fours. Dans le jardin, une fontaine surmontĂ©e d'une croix porte la date de 1733. La piĂšce d'eau rectangulaire murĂ©e, est dominĂ©e par une terrasse dessinĂ©e Ă la française. La chapelle, restaurĂ©e en 1758, possĂšde ses litres extĂ©rieures blanchies Ă la chaux Ă la RĂ©volution. A l'intĂ©rieur, elle s'orne d'une grande peinture de 1691 reprĂ©sentant l'Annonciation. En 1800, les douves furent supprimĂ©es et remplacĂ©es par des bĂątiments de service reliĂ©s par une grille en fer forgĂ© qui fermait la cour d'honneur. Les douves arriĂšre furent Ă©largies en piĂšce d'eau. Adresse 22330 Le Gouray Bretagne PĂ©riode 18e siĂšcle Classement Façades et toitures du corps central du chĂąteau, du pavillon situĂ© prĂšs du bois et des deux pavillons en bordure du parc ; chapelle cad. ZO 37 inscription par arrĂȘtĂ© du 3 juin 1975 Contenu
LeGouray [lÉ guÊÉ] (Gorre en breton) est une ancienne commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor en rĂ©gion Bretagne, devenue, le premier janvier 2016, une commune dĂ©lĂ©guĂ©e de la commune nouvelle du MenĂ©.ChĂąteaudu Parc: 4.4 km: Rance: 5.3 km: ChĂąteau de la Touche Ă Trebry: 8.1 km: Ăglise Saint-Pierre de TrĂ©daniel: 11.3 km: Croix du cimetiĂšre de Plestan: 11.7 km: ChĂąteaux de LimoĂ«lan Ă
Le Gourayc Karte NordNordWest, Lizenz Creative Commons deGemeindeLe MenĂ©RegionBretagneDĂ©partementCĂŽtes-dâArmorArrondissementDinanKoordinaten48° 20âČ N, 2° 29âČ WPostleitzahl22330Ehemaliger INSEE-Code22066Eingemeindung1. Januar 2016StatusCommune dĂ©lĂ©guĂ©eLe Gouray Gallo Le GĂłrĂ Ăš, bretonisch Gorre ist eine Ortschaft und eine Commune dĂ©lĂ©guĂ©e in der französischen Gemeinde Le MenĂ© mit Einwohnern Stand 1. Januar 2018 im DĂ©partement CĂŽtes-dâArmor in der Region Bretagne. Die Einwohner werden Gourayens/Gourayennes Gouray liegt etwa 29 Kilometer sĂŒdöstlich von Saint-Brieuc in der OsthĂ€lfte des DĂ©partements CĂŽtes-dâ Siedlungsspuren wie die AllĂ©e couverte des Meurtiaux stammen aus der Jungsteinzeit. Weitere Grabungen brachten Ăberreste aus keltischer und gallo-römischer Zeit ans Kirchgemeinde entstand im FrĂŒhmittelalter. Im Jahr 1205 wird der Ort als Gorre in einer Kirchenurkunde erstmals namentlich erwĂ€hnt. Zudem war der Ortsteil La Motte-du-Parc im Mittelalter Sitz einer Herrschaft. Verschiedene Epidemien suchten die Gemeinde bis in die Neuzeit heim. Im 13. Jahrhundert gab es eine Leprastation in Le Gouray. Am 24. Oktober 1823 wechselte die Siedlung Saint-Mirel von Le Gouray zu CollinĂ©e. Zum gleichen Zeitpunkt wechselte die Siedlung Bransart zu Saint-Jacut-du-MenĂ©. Und am 10. August 1849 trat die Gemeinde verschiedene Gebiete im SĂŒden an die Gemeinde Saint-Jacut-du-MenĂ© ab. Die Gemeinde gehörte von 1793 bis 1801 zum Distrikt Broons und war Kantonshauptort des Kantons Le Gourray. Von 1801 bis 1926 war sie Teil des Arrondissements LoudĂ©ac und war seither Teil des Arrondissements Dinan. Und von 1801 bis 2015 war sie eine Gemeinde des Kantons Wirkung vom 1. Januar 2016 entstand aus der Fusion aller sieben Gemeinden des Gemeindeverbandes CommunautĂ© de communes du MenĂ© die neue Gemeinde Le MenĂ©, zu der Le Gouray gehört. Die Gemeinde Le Gouray gehörte zum Arrondissement Dinan und zum Kanton Zahl der Bewohner nahm zwischen 1793 und 1836 leicht zu 1793â1836 +10,5 %. Danach folgte als Folge der zunehmenden Mechanisierung der Landwirtschaft eine erste Abwanderungswelle 1836â1856 â17,2 %. Bis zur Jahrhundertwende um 1900 blieb die Einwohnerschaft dann immer etwa auf gleicher Höhe. Bereits nach 1900 begann eine zweite Abwanderungswelle, die sich als Folge der zahlreichen Gefallenen und der Grippewelle von 1918 verstĂ€rkte. Die starke Landflucht hielt bis um 1980 an 1901â1982 â51,1 %. Nach der Jahrtausendwende kam es zu einem bedeutenden Wachstum 1999â2012 +34,3 %.BevölkerungsentwicklungJahr17931800180618211831183618411846185118561861186618 Jahr19011906191119211926193119361946195419621968197519 Cassini und ab 1962 INSEESehenswĂŒrdigkeiten[1]Schloss ChĂąteau de la Motte BasseDorfkirche Saint-Ătienne erbaut 1854Kapelle Saint-Roch aus dem 12. Jahrhundert im 17. Jahrhundert restauriertKapelle von La Motte-Basse aus dem Jahr 1759Kalvarienberg von La Motte-Bassezahlreiche Kreuze und Wegkreuze aus dem 17. und 18. Jahrhundertmehrere HerrenhĂ€user Manoir du Vau-Raulet, Manoir de la Motte du Parc 15. Jahrhundert, Manoir des Murs 17. Jahrhundert und Manoir de Quilloury 16. Jahrhundertalte HĂ€user im Dorfzentrum erbaut 1777 und Truet erbaut 1573Landgut von Le Gros-ChĂȘne aus dem Jahr 1840mehrere MĂŒhlenstrohgedecktes Haus aus dem 18. Jahrhundert in Le LimbĂ©Lavoir Waschhaus in NoĂ«-PerghienAllĂ©e couverte aus der Jungsteinzeit in LâĂpineEisenbahnbrĂŒcke Pont de Planchettes 1924 eingeweihtDenkmal fĂŒr die Gefallenen[2]ChĂąteau de la Motte Basseehemaliges Rathaus Mairie von Le GourayDorfkirche Saint-ĂtiennefrĂŒhere EisenbahnbrĂŒckeKreuz beim ChĂąteau de la Motte BasseLiteraturLe Patrimoine des Communes des CĂŽtes-dâArmor. Flohic Editions, Band 1, Paris 1998, ISBN 2-84234-017-5, S. 186â der Dorfkirche Saint-ĂtienneInfos zur Geschichte und den SehenswĂŒrdigkeitenEinzelnachweiseâ Beschreibung der SehenswĂŒrdigkeiten französisch Memento des Originals vom 24. September 2016 im Internet Archive Info Der Archivlink wurde automatisch eingesetzt und noch nicht geprĂŒft. Bitte prĂŒfe Original- und Archivlink gemÀà Anleitung und entferne dann diesen Hinweis.â Denkmal fĂŒr die Gefallenen Auf dieser Seite verwendete Medien Autor/Urheber Photo personnelle, Lizenz Passerelles du Gouray construites pour les Chemins de Fer des CĂŽtes-du-Nord
18:35:34 - Le Gouray - ChĂąteau de la Motte-Basse 2022-03-29 11:06:07 - Le Cros - Croix 2022-03-26 19:02:18 - Angles-sur-l'Anglin - Abri du Roc aux Sorciers 2022-03-26 12:40:40 - Poix-du-Nord - Monument aux morts 2022-03-24 12:15:39 - Le Mont-Saint-Michel - Enceinte des Fanils 2022-03-23 19:28:27 - Amboise - ChĂąteau Gaillard
Comment se rendre De Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret Trouver un transport pour Barneville-Carteret Trouver un logement avec Il y a 2 façons dâaller de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret en train ou en voiture SĂ©lectionnez une option ci-dessous pour visualiser lâitinĂ©raire Ă©tape par Ă©tape et comparer le prix des billets et les temps de trajet sur votre calculateur dâitinĂ©raire Rome2rio. RecommandĂ© Train Prendre le train de Mantes La Jolie Ă Valognes Voiture Conduire de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret Voyagez en toute sĂ©curitĂ© durant le COVID-19 RĂšgles Ă suivre en/au France Voyager en/au France Un pass sanitaire est obligatoire pour les dĂ©placements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrĂŽle Ă l'Ă©chelle nationale en place Foire aux questions Quelles sont les restrictions de voyage en/au Barneville-Carteret ? Les voyages intĂ©rieurs ne sont pas limitĂ©s, mais certaines conditions peuvent s'appliquerLes masques de protection sont recommandĂ©sLa distanciation sociale Ă respecter est de 1 mĂštreUn pass sanitaire est obligatoire pour les dĂ©placements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrĂŽle Ă l'Ă©chelle nationale en place Explorer les options de voyage Quel est le numĂ©ro de la ligne d'assistance tĂ©lĂ©phonique COVID-19 en/au Barneville-Carteret ? Le numĂ©ro de la ligne d'assistance tĂ©lĂ©phonique COVID-19 en/au Barneville-Carteret est le 800 130 000. Dois-je porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Barneville-Carteret ? Il est recommandĂ© de porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Barneville-Carteret. Que dois-je faire si je prĂ©sente des symptĂŽmes du COVID-19 Ă mon arrivĂ©e en/au Barneville-Carteret? Faites-vous connaĂźtre auprĂšs d'un membre personnel et / ou appelez la ligne d'assistance nationale dĂ©diĂ©e au coronavirus au 800 130 000. DerniĂšre mise Ă jour 8 AoĂ»t 2022 Certaines exceptions peuvent s'appliquer. Pour plus d'informations European Union. Nous travaillons sans relĂąche pour vous transmettre les derniĂšres informations officielles relatives au COVID-19 pour que vous puissiez voyager en toute sĂ©curitĂ©. Ă notre connaissance, ces informations Ă©taient correctes Ă la date de la derniĂšre mise Ă vous avez besoin d'aide, rendez-vous surla page Conseils aux voyageurs Rome2rio. Questions & RĂ©ponses Quel est le moyen le moins cher pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? Le moyen le moins cher de se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret est en train qui coĂ»te 1 200 ⎠- 2 500 ⎠et prend 3h 53m. Plus d'informations Quel est le moyen le plus rapide pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? Le moyen le plus rapide pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret est de prendre un voiture ce qui coĂ»te 2 000 ⎠- 3 000 ⎠et prend 3h 8m. Plus d'informations Comment voyager de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret sans voiture ? Le meilleur moyen pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret sans voiture est de train, ce qui dure 3h 53m et coĂ»te 1 200 ⎠- 2 500 âŽ. Plus d'informations Combien de temps faut-il pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? Il faut environ 3h 53m pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret, temps de transfert inclus. Plus d'informations Puis-je conduire de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? Oui, la distance entre Mantes-la-Jolie et Barneville-Carteret est de 307 km. Il faut environ 3h 8m pour conduire de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret. Calculer l'itinĂ©raire pour un trajet en voiture OĂč puis-je rester prĂšs de Barneville-Carteret ? Il y a 262+ hĂŽtels ayant des disponibilitĂ©s Ă Barneville-Carteret. Les prix commencent Ă 3 750 ⎠par nuit. Plus d'informations Quelles compagnies assurent des trajets entre Mantes-la-Jolie, France et Barneville-Carteret, France ? SNCF TĂ©lĂ©phone +33 9 70 60 99 70 Site internet Temps moyen 2h 19m FrĂ©quence Une fois par semaine Prix estimĂ© 1 200 ⎠- 2 500 ⎠Site internet 2nd Class 1 200 ⎠- 1 800 ⎠Rail 1st Class 1 700 ⎠- 2 500 ⎠Quelle prochaine destination ? Trajets depuis Mantes-la-Jolie Trajets vers Barneville-Carteret Routes populaires
3kmTHyu. 471 307 89 145 52 465 420 22 28